Motorstorm Complete (PlayStation 3)

Tout a été dit sur Motorstorm. Ou presque :
« La boue c’est rafraîchissant et c’est bon pour la peau »
« Conduire au Sixaxis me permet de garder la ligne »
« Au volant d’un camion j’ai l’air mince »
« Ca change d’avoir autant de tickets lol »
« Je vends des T-shirts Motorstron mais chhhut »

L’essence

Well I’m not the kind to kiss and tell

Comme me le rappelait l’autre jour Howard, rien de tel qu’un bon Motorstorm entre deux cascades. Enfin, quand Jody est indisposée bien sûr.
Pourquoi ? Tous les chasseurs de primes d’Hollywood vous le diront : ce que les vrais hommes recherchent, c’est les sensations fortes, l’adrénaline. Quand Jody n’est pas disponible évidemment.
Motorstorm c’est tout ça, même Jody, c’est la vie dans la course. De la physique viable, des combats ardents, un terrain sauvage, une lumière éclatante, une IA débordante, des pilotes expressifs, un classement mouvementé, des sensations trempées, un joueur survivant, le plaisir ressuscité. La vie !

Howard peste sur certaines des dernières courses où l’IA fait tout et n’importe quoi (vraiment) pour vous empêcher de finir premier. Mais une fois toutes les médailles d’or remportées on pardonne à l’Aigle de la Route, et on revient pied au planché dans cet enfer mécanique où tout n’est que poussière.