Je suis une grosse brêle
Mr.Rogers

zbah - 08 Feb 2020

Bon en réalité comme je suis un peu maso j'ai décidé de pousser le vice.

zbah a écrit :

Alors le problème n'est pas dans ce qui est dit, raconté, ça aurait pu être drôle et enlevé, ça aurait pu être une parodie potache, mais non, tout ce galimatias nous est vomi au visage avec un aplomb et un sérieux déconcertant, jusqu'à l'embarras.

Non mais c'est exactement ça, l'écriture est hallucinante, c'est incroyable de faire un jeu où toutes les cinématiques créent le malaise. smiley115 Le pire c'est que tu vois très bien que ça a été écrit par un duo de lesbiennes à cheveux bleus qui ont décidé d'assouvir tous leurs fantasmes les plus inavoués.
Tout est cliché à mort, entre la scène où ta pote (un sosie de Megan Rapinoe sans déconner) se fait décapiter d'un coup de hache par une femme nazi forcément sadique et perverse, et ta bande de copains qui cochent toutes les cases des « oppressions systémiques » (le noir, le handicapé mental, le couple d'immigrés mexicains, l'arabo-musulman, les femmes, le juif, la grosse, mais putain smiley11 smiley11 ). Mais ça arrive quand même à être 100 % serious business, on dirait vraiment que c'est « névrose de SJW : the game ».

Une fois qu'on a dit ça, et que le perso a retrouvé l'usage de ses jambes, niveau gameplay c'est pas non plus nul à chier mais ça casse quand même pas 3 pattes à un canard et puis

zbah a écrit :

l'idée de nous faire marteler carré pour ramasser des munitions une hérésie complète.

Non mais le coup du bouton pour ramasser le stuff j'en ai pas cru mes yeux que les types aient décidé en conscience de faire un truc aussi casse-burnes. smiley11

Allez je me donne encore 1 h ou 2 de jeu pour voir ce que ça donne et je m'en débarrasse. Je pensais jouer à un FPS avec de beaux graphismes, je me retrouve avec une merde couloirisée, scriptée jusqu'à la moëlle et à l'écriture consternante et envahissante avec de beaux graphismes.