DjameL

Toujours autant en forme sur Gamerama.

A l'occasion dites moi ce que vous pensez de mon blog:

http://gamewhine.blog.mongenie.com/

Un peu dans la lignée de Gamerama, sans la formation littéraire malheureusement smiley1.

Enjoy-Exciting

C'est vrai maintenant le jeux vidéo c'est que du business  faut avoir des diplôme et tout le tralalal parce que ces con de sony et microsoft à se faire une guéguerre technologique bein ils ont bloqué les petit éditeurs avec des projet ambitieux (mais comme un jeux sa coute cher et on ne prend pas si pas de diplome (parce que diplome = argent chez eux comme partout d'ailleur)) donc les jeux originaux bein sa devient rare (gears of war j'ai grave kiffer, god of war m'a fait jouir, baten kaitos excellent exct... mais après sa devient du réchauffer) sa existe plus les gens qui donner leur projet et on leur donnait carte blanche (comme le papa de resident evil) nan maintenant on est des cons qu'achète leur jeux 70€ parce qu'on veut le tester on veut voir si les promesse on été tenu puis on se fait baisé mais comme on a pas compris on recommence (pourquoi je parle en on ?) enfin après y'avait la Wii l'espoir puis en faite rien de bon jeux sympathique (Mario Galaxy super, Metroid Prime 3 génial, Zelda...sympa mais déçu sa sent le baclage) certe mais après y'a pas grand chose.
A quand la vrai révolution ? Qu'on vraiment une vraie expérience et pas une simple claque technologique ?

PluginBB

Ouais c'est vrai Sony et Microsoft font tellement la course à la technologie que ça handicape les petits artisans, les vrais, ceux qui pondent des purs chef d'oeuvres innovants dans l'obscurité comme Limbo of the lost.

Olala...

Cette chronique est vraiment ringarde, franchement les gars faut vous réveiller. C'est un pur luxe le jeu vidéo, que ce soit de l'art ou pas qu'est-ce qu'on en a à branler. C'est du plaisir en barre et plus, comme partout, tu trouveras peut-être quelque chose de plus derrière une bonne nana, un bon film, ou une bonne glace malabar (le chewing-gum bien sûr). Le 7e art sort un nombre incalculable de daubes chaque année et n'est plus là que pour faire des tunes, alors dissocier l'art de l'argent me paraît un peu facile. Un picasso, un van gogh, de la bonne époque j'entends, ça se vend combien? Une toile d'une artiste un tant soit peu branchouille à Paris c'est combien? Et le Dark Knight de Nolan, pas mal au demeurant, sans plus, mais overhypé et érigé au rang de meilleur film de tous les temps sur imdb par une bande de fans aveuglés qui veulent le messie, ça rapport combien?

Ce pavé est un caprice d'enfant gaté. Il en faut pour tout le monde, et perso tant que j'ai la chance, parce que c'est une putain de chance, de jouer à un jeu vidéo intéressant et profond, que ce soit Shadow of the colossus, God Hand, Majora's Mask, Metal gear solid (et les critiques des petits branleurs qui sont passés à côté du jeu me font bien rire) et tellement d'autres productions , je vais savourer. Ce n'est pas parce qu'un jeu rameute beaucoup de monde que ça le vide de sa substance.

On a de la chance de vivre à cette époque les gars, alors profitez, dans plusieurs milliards d'années c'est la fin de l'univers.

J'aime le RPG papier-cul.
Mage_de_Taverne

derrick - 04 Aug 2008

Putain, merci. Merci vraiment.

Quand un jeu ne cherche plus à être un jeu mais une expérience traumatisante. Dans le bon sens du terme. On n'est plus devant son écran pour se divertir, mais pour se faire remuer, outre les méninges, quelque chose d'indéfinissable au fond de soi. Être mal à l'aise comme devant certains films ou livres, et néanmoins les apprécier, voire les adorer pour cela. Voilà ce que j'ai ressenti en lisant les tests de rock paper shotgun et d'eurogamer.

Je me procure ce... cette "chose" dès que j'ai un peu de temps, en espérant ne pas être déçu.

Et encore merci pour le tuyau.

Mongolo
CPC6128

Ebichu - 04 Aug 2008
Beaucoup de bêtises dans les commentaires de cet article rigolo.

A commencer pas celle-ci, qui revient souvent : "quand c'est fait pour faire du fric, c'est pas de l'Art".

Hum...hum... Allo ? Certaines personnes ici ont elles suivi des cours d'Histoire de l'Art, ou de Lettres ?
L'Art a toujours eu une vocation commerciale. La notion d'Art gratuit est très moderne.

Balzac était payé à la page, Ronsard était "salarié" (si je peux me permettre cet anachronisme) du roi, Picasso  peignait pour vendre ses toiles, Andy Warhol vendait ses oeuvres...

La vocation commercial n'enlève rien à l'intérêt artistique d'une œuvre.

Evidemment, avec toute la daube formatée qu'on nous sert à la radio, à la télévision, et sur nos consoles, il est facile de faire l'amalgame.

Mais l'Art gratuit est une question sans réponse, tel l'acte gratuit. Quand tu fais référence aux  "court métrage/illus/bouquins d'auteur", on peut très bien se dire que les auteurs de ce genre d'oeuvre les font dans l'espoir de se faire remarquer... et donc de vivre de leur art...
Question aux réponses infinies smiley29

nous montre son minou
Ebichu

CPC6128 - 11 Aug 2008

a écrit :

on peut très bien se dire que les auteurs de ce genre d'oeuvre les font dans l'espoir de se faire remarquer... et donc de vivre de leur art...

On peut aussi très bien se dire qu'on fait une "oeuvre" dans le simple espoir de créer ou de poser sa façon de penser/sa philo/sa vision de la life via un média, sans attendre quoi que ce soit de l'extérieur.

Après si on peut se faire des thunes avec...

Shinra

Certes la vocation commerciale de l'Art ne le décrédibilise pas forcément.

Mais disons que les artistes que tu cites avaient peut être une plus haute opinion du consommateur. Le problème c'est pas de s'adresser à l'individu en tant que consommateur, mais de le prendre pour un abruti fini. C'est surtout à ce moment là que la démarche artistique passe aux oubliettes.

Mongolo
CPC6128

Shinra - 11 Aug 2008
Tout à fait !
Et c'est lié à l'état d'hyperconsommation dans lequel la société dite "développée" est tombée.
On pense à vendre avant de créer. On pense au producteur avant de penser au scénariste...

C'est cet excès qui occulte bien souvent la dimension artistique d'un projet.

Mais ce n'est pas systématique : et il faut garder son sens critique affuté pour déceler les projets qui ne tiennent qu'à travers leur campagne publicitaire lisse et formatée.

Mongolo
CPC6128

Juste une chose, Caracolad, que je ne suis pas sûr de comprendre.
Tu écris : "On sait bien que le joueur moyen est pas réputé pour jouir d'une grande maturité intellectuelle. Un peu plus que le joueur casual certes, mais bon..."

Mais si le JV est devenu un média si idiot, le "casual" n'est il pas plus intelligent que celui qui passe ses journées sur un seul et même média ?

En réalité, je te rassure, je vois très bien quel type de casual tu évoques, mais justement, ce type de "non joueur neuneu smile face" n'est pas beaucoup plus répandu que les hard core gamer tuant un chauffeur de taxi pour s'acheter GTA IV.

Le problème majeur de JV, est qu'il se définit trop souvent par l'expression anglaise "entertainment" qui signifie trop souvent "pop corn formaté pour pas se prendre la tête".

Mais tout n'est pas perdu : le cinéma a ses blockbusters insipides, la littérature a ses romans de gare et Mary Hingis Clark, la photographie a ses photos de campagne Wii et Philippe Warrin, l'illustration comique a ses bouses consensuelles et Plantu...
Et ça n'empêche pas ces Arts de briller...
Tout comme le Jeu vidéo brille parfois smiley29

J'ai honte, supprimez mon compte SVP
Pseudo_supprime

Voici une interview intéressante de Denis Dyack, où il aborde bien cette problématique: interview

L'IA de l'antimatière

À mon avis ce n'est pas exactement le problème, j'irais plutôt chercher du côté de
1/ hégémonie des développeurs / éditeurs qui bride bien trop les concepts
2/ le fait qu'on embauche des programmeurs avant de chercher un game designer (ce qui place souvent à la tête des projets des types qui s'en branlent un peu du propos ou qui manquent d'inspiration)
3/ l'inaccessibilité du milieu et le relatif flou qui plane au-dessus. Si n'importe qui peut prendre un stylo et écrire, un pinceau et peindre ou une caméra et filmer le game making requiert plus de connaissances pour être exercé, difficile de créer des vocations dans ces conditions

Puis un projet ambitieux requiert tellement de temps et de personnels qu'il doit être difficile de pondre quelque chose de cohérent et de totalement assumé.

Messieurs, le cirque ohmetron vous présente l'art pour les bobos, en duo avec le clown clubobo !
Caracolad

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Jeu vidéo = art !

Invité(e)
invité

Caracolad - 06 Aug 2008

tu l'as lu alors?

Messieurs, le cirque ohmetron vous présente l'art pour les bobos, en duo avec le clown clubobo !
Caracolad
Messieurs, le cirque ohmetron vous présente l'art pour les bobos, en duo avec le clown clubobo !
Caracolad

- Jamais

C'est une chronique écrite avec le cœur, où j'ai tenté de limiter le gloubiboulga mélodramatique  d'otaku en chocolat. Toute critique de ta part sera donc considérée comme invalide.

Cela dit je n'ose pas la relire, elle est certainement très nulle avec le recul.

Vivianne : promis dès que je passe à la médiathèque.

Messieurs, le cirque ohmetron vous présente l'art pour les bobos, en duo avec le clown clubobo !
Caracolad

- Jamais

Dead Space n'a aucunement déçu, rien que le fait de pouvoir se balader sur un astéroïde en gravité zéro c'est de l'Ââârt, tu vois. Après, les débats survival/pas survival, gnmpffrt. Par contre Little Big Planet c'était une illusion d'optique, au final on a eu droit à une petite crotte casual, j'avais pas prévu le coup...

C'est surtout The Path (et dans une moindre mesure Braid) qui m'a explosé la tête comme aucun jeu vidéo raisonnable n'avait pu le faire auparavant. J'y vois beaucoup plus clair maintenant. J'ai bien compris la différence que y'avait entre un produit culturel enrichissant et un produit culturel de divertissement.

Peu importe la qualité, ce qui compte c'est le prix
derrick

Ta conclusion est juste quand même. Y a pas mal de JV "originaux", "artistiques", qui veulent faire avancer le schmilblick. Mais le problème c'est que le public qui réclame quelques chose de différent n'en veut tout simplement pas et préfère le "divertissement".

C'est d'ailleurs pas un hasard si une grande partie de ce jeux "artistiques" sont surtout de toutes petites productions PC, car c'est la seule plateforme qui permet à un jeu à faible public d'être rentable.