Invité(e)
Pseudo_supprime

God Of War 2, c'est un peu l'antithèse de Super Mario Sunshine. C'est un peu le best.game.ever.

Le test complet : lien

Je suis fan de RPG, de jeux de combat, et de Nintendo. Désolé.
moursin

smiley11

fallait s'y attendre

Je retourne boire du Horse Power en attendant le prochain tag
TK_AK
a écrit :

PSone

Putain mais arretez tous d'utiliser ce terme de connards incultes.

Invité(e)
Profil supprimé
J'ai pas vraiment fait attention aux fautes/erreurs mais... a écrit :

On lui demande jute d'être


Il manque le S smiley4

Et si je ne me trompe pas, la touche O pour valider, ça vient du Japon! Là bas, on valide avec O et annule avec X. (Sur la DS, on valide aussi avec l'équivalent du O)

Zobman

Bonjour, avez-vous une photo non-censurée de la deuxième image à m'envoyer, pendant que je vais chercher des kleenex ?

Messieurs, le cirque ohmetron vous présente l'art pour les bobos, en duo avec le clown clubobo !
Caracolad

Gamerama m'a convaincu, je file revendre ma Gamecube pour m'acheter une Playstation 2 !

J'ai honte, supprimez mon compte SVP
Profil_supprime

tout est dit

tu aurais pu cependant rajouter "merci sony" a la fin

a écrit :

On lui demande jute d'être un bon défouloir

lapsus revelateur

jackie_shan

Je termine le premier et je m'attaque à celui là smiley3:
Le test (et les quelques photos smiley4) donne envie d'y jouer et c'est l'essentiel.

Idiot chiant.
Illmatic
a écrit :

la fin de vie aura de la PlayStation 2 aura été anthologique


smiley3:

Sinon faudra peut-être que je me le fasse un jour ce GOW 2...

Je suis fan de RPG, de jeux de combat, et de Nintendo. Désolé.
moursin

Bravo, grace à vous un nboy aura pu toucher à cette merveille

http://www.jeux-france.com/blog_Nsexuel

maintenant vous faites dans la charité, c'est bien

Sinon une faute

a écrit :

Au moins de puis les midi de Zelda Ocarina Of Time Twilight Princess.

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moursin - 23 May 2007
je suis pas sùr que ton gars soit un vrai nboy

Je suis fan de RPG, de jeux de combat, et de Nintendo. Désolé.
moursin

Profil_supprime - 23 May 2007

Ben il a un blog a nintendoland donc j'ai vite conclu
aurais-je jugé trop vite?

Avant je voulais être admin mais j'ai pas pu, alors je suis devenu Jamel
Starfula
a écrit :

la fin de vie aura de la PlayStation 2 aura été anthologique

Double aura smiley13

Sinon les constantes références aux MGS dans vos tests, même si c'est pour les descendre, montrent bien qu'en faite vous les kiffez.

le-charognard

mouais,mettre 10/10 a un jeu ou on trimballe un kojak avec des sandalettes qui donne des coups de fouet et va niquer des putes meme pas belles...
mais c'est super dites moi!

Média affilié à un État, Russie
makunouchi_ippo

très bon test smiley18

le-charognard

on peut pas mettre des aliens bodybuildé dans tous les jeux smiley30 smiley32

Invité(e)
Profil supprimé

Vite fait, l'instant :bernardpivot:

Vraiment pas sûr a écrit :

on a affaire sûrement au plus beau jeu PS2


on a à faire?

a écrit :

on n'a vraiment


on a vraiment. (et j'ai pas mis tous les "n'" que tu zappes)

Invité(e)
invité

Je l'ai fini il y a peu. Quelle fin de merde quand même. Je vais peut-être faire le mode Titan si j'ai le courage.

BobbyEwing

bon test
le combat contre athena était bien meilleure que celui contre zeus
sinon rien a redire parfait en tout point.

spectre35

smiley42

L'IA de la nuit dernière
ta maman, elle flûte !
Ashura

En tant que créateur du nerdvicieux, je voulais juste dire que ça fera 25€.

ta maman, elle flûte !
Ashura

Ah, j'ai testé God of War 2 ! Au bout de 20mn passées à faire tout le temps la même chose, j'ai lâché l'affaire.

Invité(e)
Kenjin

Ashurav decouvre le jeu d'action, emouvant

ta maman, elle flûte !
Ashura

FTG FDP

J'avais fini GoW 1 à grand peine déjà, pas envie de me refaire chier.

Léon Zétrone
Zyton

Tiens, c'est bizarre, dans ce test tu ne parles pas beaucoup des défauts du jeu (sauf l'aliasing), du genre la faible durée de vie ou la linéarité du jeu. Un peu de subjectivité ?:niais2:

Zyton - 17 Aug 2007

Il faut environ 10h la premiere fois pour le finir, ce qui pour le genre est enorme.
Ensuite, ya pas mal de truc a débloquer en refaisant le jeu dans une difficulté supérieur, et il me semble qu'il y a un mode de jeu bonus, non ?
Bref, pour un beat them all, c'est une durée largement suffisante, bien supérieur a pas mal de jeu quelque soit le genre.

Et pour la linéarité, justement, c'est vraiment un point ou on ne peut pas vraiment critiquer GOW 2, car le jeu se veut très "varié". On enchaine scene de baston a terre, dans les airs, scene de plate forme et passage avec des enigmes.
Pour un beat them all, on peut pas dire que ca soit pas varié... tous ca ensemble casse quand même la linéarité inérrante au genre, où habituellement, on casse du monstre sans arret.

Léon Zétrone
Zyton

Pso - 17 Aug 2007
Maieuuuuh, tu m'as tout cassé mes jolis défauts. Pour une fois que c'est Gamerama qui est gentil, il fallait que je redresse la barre. Mais je m'en fous, j'adore God of war. Je voulais juste faire remarquer le manque de discernement de la part du testeur.

Léon Zétrone
Zyton


T'inquiète, tu pourras acheter God of War 3 sur PS3 lorsqu'il sortira:sonybranl:

\m/
X_3cut

Zyton - 18 Aug 2007

Ils vont pas trouver de thunes pour le financer et il va finire comme ff13.

Léon Zétrone
Zyton

X_3cut - 18 Aug 2007
Nooon, je veux connaître le fin mot de l'histoire. Faire tout ça pour ne pas écrire la fin ? Mais c'est le Dune du jeu vidéo, dites-moi. En même temps, c'est pas dit encore, hein.

Le Astal de la NBA
tsukoyumi

BEST Beat Them all Ever avec  Z:O:E 2

Chococat_power

Encore une très belle suite... mais je suis coincée je peux plus avancer. Sniff T.T
Mais que du caca de comparer avec Mario Super Sunprout

Léon Zétrone
Zyton
Chococat_power a écrit :

Mais que du caca de comparer avec Mario Super Sunprout


La comparaison, c'est juste pour enfoncer un jeu Nintendo smiley28:

plisken

la suite d'un des meilleur jeux PS2 qi se pay le luxe d'etre encor mieu que le premier je dit oui. Un jeux enorme et magnifique.

la comparaison avec mario sunshine est debile (surtous que sunshine est lui aussi un exelent jeux mais faut avoir du gout pour le voir)

Je suis fan de RPG, de jeux de combat, et de Nintendo. Désolé.
moursin

plisken - 10 Mar 2008

Mario Sunshine c'est un peu la honte des Mario. Enfin ça c'était avant l'arrivé de Mario Galaxy


En transit pour NeoGAF
Eklerion

moursin - 11 Mar 2008

GoW est un jeu assez médiocre par bien des aspects. Gamerama manque totalement d'objectivité sur ce coup :

[url]http://www.game-web.fr/communaute/article.php?ID=90[/url]

Voilà un article que j'ai écrit sur un site qui propose de participer soi-même au contenu rédactionnel. Sympa !

L'IA de la nuit dernière
nous montre son minou
Ebichu

Eklerion - 18 Jan 2009

a écrit :

God of War bien qu'amusant et divertissant est un jeu sans intérêt sur le plan mythologique

Putain mais smiley11
Bientôt le pavé sur les divintés des Final fantasy "han mais Shiva en fait c'est pas un monstre de glace cay un shemale avec plein de bras".

En transit pour NeoGAF
Eklerion

Je vais attendre que t'ailles dormir puis je demanderai à accouche popo de quoter mes msgs.

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Eklerion - 18 Jan 2009

Retourne lire les Métamorphoses d'Ovide avant d'étaler ton ignorance crasse.

Choco: Cet avatar smiley5

En transit pour NeoGAF
Eklerion

Les métamorphoses d'Ovide, c'est ça ta référence pour dire qui m'as l'air d'être un sue suis crassement ignorant ? Alors pourquoi pas mais je me demande à voir tes arguments. Toi qui m'as l'air d'être un sacré connaisseur, fais-nous grâce de tes reflexions ...

Parce que c'est bien de sortir ta petite phrase en tentant de glisser la seule référence que tu connais mais si tu n'arrives pas à me dire en quoi la lecture des métamorphoses rend mon propos inconsistant, je ne vois pas vraiment l'intérêt de sortir de ta boite autre que pour se faire mousser à peu de frais.

Donc reprend mon article, [link=""]http://www.game-web.fr/communaute/article.php?ID=90[/link] et éclaire-moi.


ps: nice réponse d'Ebichu dans le topic de Gk.


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Eklerion - 19 Jan 2009
smiley25

Le problème de ton pavé, c'est qu'il enfonce des portes ouvertes. Je comprends même pas pourquoi tu t'es fatigué à l'écrire. Tout le monde sait que God of War affiche un côté peplum nanardesque pleinement revendiqué par les devs eux-mêmes, que ce soit au niveau du design des dieux, des mythes utilisés ou même de la vision de la Grèce Antique (suffit de voir Rhodes dans GOWII pour bien se rendre compte de ça). Kratos est une copie d'Héraklès mixé avec la vision de je ne sais quel auteur, ok so what? Ça l'empêche pas d'avoir la classe. smiley18

D'ailleurs, dans le making-of de God of War (qui faisait office de bonus après avoir terminé le jeu smiley4), les devs le disent eux-mêmes: les premières esquisses correspondaient à une vision tout à fait exacte d'un point de vue historique; or, ces esquisses ont été rejetées par SONY en prétextant que le jeu ne "ferait pas assez grec". D'où le tournant de la série vers le peplum nanardesque pleinement assumé et l'imaginaire populaire concernant la Grèce mythologique (la vision devenue classique de Zeus avec une toge blanche, la foudre à la main, et une grande barbe blanche; alors que l'image de Zeus était loin d'être la même dans toute la Grèce antique, les cultes locaux tenaient alors une place fondamentale).

Tu as tort par contre (je pense) lorsque tu écris que GOW n'a aucun intérêt sur le plan mythologique: les devs font honneur aux auteurs antiques, qui ont durablement fixés ces mythes, et à leurs descriptions de combats féroces, où le sang coule à flots, et où les membres volent.

Je pensais à ce passage précis des Métamorphoses, chapitre XII, le combat des Lapithes et des Centaures.

Le fils redouté d'Ixion, Pirithoüs, s'unissait à la belle Hippodamie ; les Centaures, fils de la Nue, invités aux festins de l'hyménée, prirent place dans la caverne, théâtre de la fête. Les chefs des Thessaliens se rendirent à ces noces, et j'y assistai avec eux. Une foule joyeuse se presse dans la salle du festin ; on chante l'hyménée, la flamme brille dans le foyer. L'épouse de Pirithoüs, brillante de beauté, paraît entourée de matrones et de jeunes filles ; tous nous proclamons Pirithoüs heureux d'une telle union. Présage trompeur ! le plus farouche des farouches enfants de la Nue, Eurytus, enflammé par le vin, s'enfamme encore à la vue de la jeune épouse ; l'ivresse et la luxure le possèdent tout à la fois. A l'instant tout s'ébranle dans la salle du festin ; les tables roulent renversées ; Eurytus saisit par sa chevelure Hippodamie, et l'entraîne. Chaque Centaure enlève la femme qui lui plaît, ou qu'il trouve à sa portée ; la caverne présente l'image d'une ville prise d'assaut ; l'écho répète les cris des femmes éplorées. Aussitôt nous nous levons tous, et le premier : «Quelle fureur t'entraîne, Eurytus ? s'écrie Thésée ; quoi ! tu oses outrager Pirithoüs en ma présence ! Tu ne sais donc pas que c'est m'outrager moi-même ?» Il dit, et l'effet suit ses paroles. Le héros écarte tout ce qui s'oppose à son bras, et arrache Hippodamie des mains de ses farouches ravisseurs. Eurytus reste muet ; ce n'est pas avec des paroles qu'il peut répondre à de pareilles actions : il frappe de ses mains le visage de Thésée et sa forte poitrine. Près de là était une coupe antique aux vastes flancs ; la main vigoureuse du fils d'Egée la soulève et la lance contre le visage du Centaure. Eurytus, par sa blessure et par sa bouche, vomit sa cervelle broyée au milieu de flots de sang et de vin ; il tombe sur l'arène rougie, et, de son pied, bat convulsivement la terre. A cette vue, ses compagnons, enflammés de colère, s'écrient tous d'une voix : «Des armes ! des armes !» Le vin échauffe le courage ; de tous côtés volent les coupes, et les outres fragiles, et les vases du festin, tout à l'heure armes du plaisir, maintenant instruments de carnage.

Le premier, le fils d'Ophionée, Amycus, ne craint pas de dépouiller l'autel domestique de ses sacrés ornements ; il saisit un lourd flambeau, l'élève, et comme un sacrificateur qui frappe de la hache le cou d'un blanc taureau, il brise la tête de Céladon ; les os fracassés du Lapithe se confondent sur son visage, devenu méconnaissable ; ses yeux sont sortis de leur orbite, et les os de son nez, repoussés en arrière, se sont fixés dans son palais. Le Macédonien Bélatès arrache le pied d'une table, et en frappe le Centaure vainqueur ; Amycus tombe ; son menton fracassé pend sur sa poitrine ; il vomit ses dents brisées, au milieu des flots d'un sang noir, et les coups redoublés du Lapithe le précipitent dans le sombre Tartare. Présent à ce spectacle, Grynée jette un regard affreux sur l'autel, qui fume encore : «Pourquoi, s'écrie-t-il, ne me servirais-je pas de ces armes ?» Il dit, soulève l'énorme autel tout chargé de ses feux, et le lance au milieu des Lapithes. Deux d'entre eux sont écrasés par l'effroyable choc, Brotéas et Orion ; Orion, dont la mère, Mycale, força plus d'une fois, par ses chants magiques, la Lune à descendre sur la terre. «Que seulement je trouve une arme, et tu seras puni ! s'écrie Exadius. Il aperçoit, sur un pin élevé, le bois d'un cerf consacré à Diane ; il le saisit, perce les yeux de Grynée, et les arrache ; l'un reste fixé au bois, l'autre coule sur la barbe du Centaure, et le sang figé l'y retient suspendu.

Du milieu de l'autel enflammé, Rhoetus enlève le tison sacré, le premier tison du sacrifice, et en frappe Charaxus à la tempe droite, que recouvrent de blonds cheveux ; aussitôt la flamme s'attache a la chevelure du Lapithe, et la dévore comme une aride moisson ; le sang qui sort de la blessure siffle, comme le fer rougi que l'ouvrier a retiré de la fournaise avec ses tenailles recourbées, et qu'il plonge dans l'onde. Le Lapithe blessé écarte de ses cheveux hérissés la flamme dévorante, arrache de terre l'énorme pierre qui sert de seuil à la caverne, et la charge sur ses épaules ; un chariot la supporterait à peine. Il veut la lancer, mais le poids l'entraîne, et l'effroyable masse écrase, en retombant, Cométès, son compagnon, qui se tenait près de lui. Rhoetus ne peut contenir sa joie : «Ah ! fassent les dieux, s'écrie-t-il, que chacun de vous sente ainsi la force de ses frères !» Il dit, et de son tison demi-brûlé, frappe de nouveau le visage de Charaxus à coups redoublés, brise son cou et fait pénétrer ses os dans son cerveau liquéfié. Vainqueur, il attaque Evagrus, Corythus et Dryas ; Corythus tombe à ses pieds, Corythus, dont à peine les joues sont couvertes d'un léger duvet.

«Quel exploit glorieux que le massacre d'un enfant !» s'écrie Evagrus. Il ne peut achever : Rhaetus, furieux, plonge le bois enflammé dans sa bouche entr'ouverte, et l'enfonce dans sa gorge. Toi aussi, farouche Dryas, il te poursuit, il fait tourner autour de ta tête les feux dévorants ; mais le succès n'est plus le même. Il s'apprêtait à te frapper, confiant dans ses nombreuses victoires ; mais tu l'atteins d'un coup de ton épieu à l'endroit où le cou se joint à l'épaule. Rhoetus gémit, arrache avec effort l'arme qui pénètre ses os, et s'enfuit tout couvert de sang. Comme lui, sont contraints à la fuite Ornée et Lycabas, et Médon, blessé à l'épaule droite, et Pisénor, et Thaumas. Merméros, qui naguère surpassait tous les guerriers à la course, se retire lentement, retardé par une blessure. Pholus, Ménalée, Abus, le chasseur de sangliers, et le devin Astylus, qui avait cherché à dissuader ses compagnons de ces funestes combats, tous reculent devant nous. Comme eux, Nessus voulait se dérober à la mort : «Ne crains rien, lui dit Astylus, les destins te réservent aux flèches d'Hercule». Mais Eurynomus, Lycidas, Aréus, Imbréas, ne peuvent échapper au trépas : Dryas les attaque tous de front, et sa main les renverse. Toi aussi, Crénéus, c'est par devant qu'il te frappe ; tu fuyais cependant ; mais, en fuyant, tu regardes en arrière ; et le glaive de Dryas t'atteint entre les deux yeux, à l'endroit où le nez se joint au front. Au milieu de cet horrible tumulte, Aphidas était étendu immobile, et dormait d'un paisible sommeil ; sa main languissante tenait encore une coupe pleine, et ses membres reposaient sur la dépouille velue d'une ourse de l'Ossa. De loin Phorbas l'aperçoit, et bien que l'infortuné ne prenne aucune part au combat, agitant son javelot dans ses mains : «Il faut, dit-il, mêler aux eaux du Styx le vin dont tu t'es rempli. Phorbas, le surprenant dans l'abandon du sommeil, pousse contre lui son javelot : le fer s'enfonce dans le cou de la victime. Aphidas ne se sent pas mourir ; de sa gorge coule un sang noir, qui remplit et son lit et sa coupe. Mes yeux ont vu Pétréus essayant d'arracher de terre un chêne antique tout chargé de ses glands ; mais tandis qu'il l'embrasse, qu'il le secoue, qu'il l'ébranle, la lance de Pirithoüs vient le frapper dans les côtes, et cloue sa poitrine à l'arbre qu'elle étreignait.

On dit que Lycus, que Chromis, tombèrent sous les coups de Pirithoüs ; mais leur vainqueur retira de leur trépas moins de gloire que de celui de Dictys et d'Hélops : sa lance traverse les tempes d'Hélops ; elle frappe à droite et ressort par l'oreille gauche. Dictys tremblant fuyait, en descendant du haut d'une montagne, la fureur du fils d'Ixion ; il glisse, il tombe précipité, du poids de son corps brise un orme immense, et ses entrailles en couvrent les débris. Apharéus veut le venger : il arrache du mont un rocher, veut le lancer ; mais le fils d'Egée l'a prévenu : il lui jette le tronc d'un chêne, et lui fracasse les os du coude ; puis il abandonne, sans lui donner la mort, son ennemi hors de combat. Thésée s'élance sur la croupe de l'immense Bianor, lequel n'a jamais porté que lui-même ; il presse de son genou les flancs du Centaure, de sa main gauche saisit ses cheveux, et, de sa massue, brise les durs os de son crâne et son front menaçant. Il renverse encore et Médymnus et Lycotas, adroit à lancer le javelot, et Hippasus, dont la barbe descend à longs flots sur sa poitrine, et Riphée, qui surpasse en hauteur les arbres des forêts, et Térée, qui, sur les monts de Thessalie, prenait, vivants, des ours qu'il rapportait tout grondants dans son antre.

Cependant, Démoléon s'indigne des exploits multipliés du héros : il s'efforce d'arracher un pin antique, et, comme il ne peut y réussir, il le brise et le lance contre son ennemi. Thésée, averti par Pallas (c'est ainsi qu'il le racontait lui-même), se détourne et évite le coup ; l'arbre, cependant, ne tombe pas inutile il va frapper Crantor, et sépare de son cou sa poitrine et son épaule gauche. Achille, ce Crantor avait été l'écuyer de ton père ; le roi des Dolopes, Amyntor, vaincu par lui dans les combats, lui avait donné ce jeune guerrier comme un otage et comme un gage de paix. De loin, Pélée l'aperçoit mutilé par cette horrible blessure : «Ah ! s'écrie-t-il, Crantor ! ô toi, jeune guerrier qui m'étais plus cher que tout autre, sois vengé par ma main !» Il dit, et son bras vigoureux lance un javelot contre Démoléon ; la colère ajoute encore à sa force : le trait brise les os qui défendent les flancs du centaure, et s'y arrête en tremblant. Démoléon arrache avec peine le bois de la lance ; mais le fer ne suit pas, il reste plongé dans le poumon. La douleur a rendu le Centaure furieux ; il se dresse, et de ses pieds de cheval, frappe à coups redoublés son vainqueur. Pélée reçoit ces coups sur son casque et sur son bouclier qui retentit ; il protège ses épaules, en opposant à l'ennemi le bouclier qu'il tient d'une main sûre, et perce d'un même coup la double poitrine du monstre. Déjà il avait abattu de loin Phlégréon et Hylès, de près Hiphinoüs et Clanis. Comme eux, Dorylas est renversé ; il couvrait sa tête d'une peau de loup, et, au lieu de javelots, il balançait deux cornes de taureau déjà rougies de sang. «Tu vas voir, lui dis-je (car la colère doublait mes forces), tu vas voir si tes cornes ne le cèdent pas à mon fer». Je dis, et je lance mon javelot. Comme il ne pouvait l'éviter, il présente sa main au-devant de la blessure : sa main est clouée à son front. De toutes parts des cris s'élèvent ; Pélée, qui se trouvait près du Centaure blessé, le frappe de son glaive au milieu du ventre. Dorylas bondit furieux ; il arrache ses entrailles, il les foule aux pieds, il les déchire ; ses pieds s'embarrassent dans leurs liens fumants, et il tombe expirant.

Dans cette mêlée terrible, ta beauté ne put te sauver, ô Cyllare. Tu étais beau, si un Centaure peut l'être ; ta barbe commençait à peine à paraître, et la couleur en était dorée ; de tes épaules une chevelure dorée descendait jusqu'au milieu de tes flancs ; une fleur de vigoureuse jeunesse brillait sur ta figure ; ton cou, tes épaules, tes mains, ta poitrine rappelaient les heureuses proportions d'un beau corps sculpté par un habile artiste ; ce qu'il avait du cheval était aussi parfait que ce qu'il avait de l'homme : donnez-lui un cou et une tête, et il sera digne de Castor, tant sont admirables et sa croupe et ses flancs élevés ; tout son corps est plus noir que la poix ; mais ses jambes et sa queue sont d'une éclatante blancheur. Beaucoup de jeunes filles de sa race recherchèrent son alliance : une seule put lui plaire, Hylonomé, la plus belle des filles des Centaures ; seule elle put captiver Cyllare par ses caresses, par son amour. Leurs corps sont aussi beaux que peut l'être celui d'un Centaure : l'ivoire lisse leurs blonds cheveux, qu'ils ont soin d'entremêmer de roses, de violettes, de romarin, et quelquefois de lys éclatants. Deux fois, chaque jour, ils vont plonger leurs membres dans les eaux qui coulent des bois de Pagasée ; deux fois l'onde purifie leur corps ; leurs épaules, leurs flancs sont couverts des plus belles dépouilles des hôtes des forêts. Un amour égal les réunit ; tous deux ils errent ensemble sur les montagnes ; ensemble ils goûtent le frais dans les antres profonds, ensemble ils étaient venus aux festins des Lapithes ; ils combattaient ensemble.Un javelot, parti du côté gauche (quelle main le lança, on l'ignore) vient te frapper, ô Cyllare ! au dessous de l'endroit où la poitrine s'attache au cou ; le trait a effleuré le coeur. Cyllare le retire ; à l'instant son corps est devenu froid ; il chancelle. Hilonomé reçoit dans ses bras les membres inanimés de son époux ; sa main veut fermer la blessure ; elle approche sa bouche de la bouche de Cyllare, et ses lèvres veulent retenir l'âme qui s'enfuit ; enfin, elle voit qu'il est mort, elle prononce des paroles que le bruit des combattants ne laisse pas arriver jusqu'à mes oreilles, puis elle se précipite sur le trait qui blessa Cyllare, et meurt en embrassant son époux.

Il me semble voir encore ce farouche Phaeocomès ; sous les peaux des lions que des noeuds joignent entre elles, il couvrait à la fois et l'homme et le cheval ; il lance une souche que quatre boeufs attelés remueraient avec peine, et frappe Phonolénide au sommet de la tête ; la tête est brisée tout entière, et la bouche, les narines, et les oreilles, laissent échapper le cerveau, devenu liquide, et qui s'écoule comme entre les joncs sort un laitage pressé, ou comme, à travers les trous nombreux d'un crible, coule et s'exprime une épaisse liqueur. Mais, tandis que Phaeocomès s'apprête à dépouiller sa victime, ton père en fut témoin, je plonge mon glaive dans ses entrailles. Avec lui Chthonias et Téléboas sont renversés par mon bras ; le premier s'était armé d'une branche fourchue. Le javelot de Téléboas me fit cette blessure, dont te peux voir encore l'antique cicatrice ; c'est alors qu'il m'eût fallu porter le siège devant Troie ; c'est alors que j'aurais pu, sinon vaincre, au moins arrêter le bras du grand Hector ; mais alors Hector n'était pas né, ou il était enfant ; moi, maintenant, je succombe sous le poids de l'âge. Te dirai-je Périphas, vainqueur de Pyrétus ? Te raconterai-je les exploits d'Ampycus, qui perça le visage du centaure Oéclus d'une lance sans fer ? Le Péléthronien Macarée abattit Erygdupus sous le coup d'un pesant levier. Moi aussi, je m'en souviens, je plongeai dans l'aine de Cymélus un épieu que la main de Nessus avait lancé ! Ne crois pas que le fils d'Ampycus, Mopsus, n'ait su que prédire l'avenir : un trait lancé de sa main renversa le centaure Oditès : le javelot attache la langue au menton et le menton au gosier, et ferme le passage de la voix. Cénée avait terrassé cinq guerriers, Stiphélus, Bromus, Antimaque, Hélimus et Pyracmon, armé d'une hache. Je me rappelle seulement le nombre et le nom de ses victimes ; j'oublie quelles furent leurs blessures. Couvert des dépouilles du Thessalien Halésus, qu'il vient de mettre à mort, Latrée, l'immense Latrée, vole à la rencontre de Cénée. Latrée n'est plus jeune, mais n'est pas vieux encore ; des cheveux blancs ombragent ses tempes, mais il conserve encore toute la vigueur de la jeunesse. Armé d'un glaive, d'un bouclier, d'une pique macédonienne, il se place au milieu des deux troupes ennemies, frappe ses armes, et, promenant ses regards sur l'un et l'autre côté, fait tourner son cheval dans un cercle rapide ; puis il prononce ces paroles orgueilleuses : «Penses-tu donc que ma main ne punira pas ton audace, Cénis ? car, pour moi, tu ne seras jamais que Cénis, tu ne seras jamais qu'une femme. As-tu donc oublié ta première origine ? Ta mémoire ne te rappellerait-elle plus à quel prix tu obtins cette apparence mensongère d'un homme ? Souviens-toi que tu naquis Cénis, souviens-toi de ton outrage, et va reprendre les fuseaux et le lin ; laisse aux guerriers la guerre». Il parlait ; Cénée lui perce le flanc de son javelot à l'endroit où finit l'homme et commence le cheval. Furieux de douleur, le Centaure frappe de sa pique le visage sans défense de Cenée : l'arme rebondit comme la grêle qui tombe sur un toit, ou comme un léger caillou lancé sur la peau tendue d'un tambour. Latrée attaque de près son ennemi, cherche à lui plonger son épée dans les flancs ; mais en vain, son épée ne peut trouver un passage. «Ah ! tu n'échapperas pourtant pas à la mort ! s'écrie-t-il. Puisque sur toi la pointe de mon glaive s'émousse, le tranchant t'immolera peut-être». Il dit, tourne son glaive, et mesure les flancs de Cénée de son large tranchant : le coup retentit comme si le glaive avait frappé du marbre, et la lame vole en éclats.

Après avoir ainsi quelque temps offert son corps invulnérable aux coups du Centaure étonné : «A mon tour maintenant, dit Cénée, je veux voir si ton corps est impénétrable à mon fer». Il dit, et enfonce son glaive jusqu'à la garde dans les flancs du Centaure ; il le retourne, il l'agite dans ses entrailles, et fait des blessures nouvelles dans sa blessure. A cette vue les compagnons de Latrée poussent des cris de rage, s'élancent, dirigent tous leurs traits contre un seul guerrier. Leurs traits retombent émoussés : Cénée est sans blessure. Ce prodige les étonne. «Honte à nous ! s'écrie Monychus ; tout un peuple est vaincu par un seul homme ; et encore, si c'est un homme, il ne le doit qu'à son infamie. A quoi nous servent donc nos vastes corps et notre double force ? Que nous sert cette double nature qui réunit en nous la vigueur des deux êtres les plus vigoureux ? Non, nous ne sommes pas les fils d'une déesse ; nous ne sommes pas les fils d'Ixion, d'Ixion qui fut si grand qu'il put porter ses désirs jusque sur l'épouse du maître des dieux. Et voici que nous sommes vaincus par un ennemi qui n'est pas même un homme ! Compagnons, roulons sur lui des rochers, des arbres, des monts tout entiers ; ensevelissons-le tout vivant sous leur immense dépouille. Q'une forêt l'étouffe, et que le poids lui serve de blessure». Il dit, aperçoit un vieux tronc rompu par les efforts des vents : il le lance contre l'ennemi. Cet exemple est suivi : en un instant l'Othrys est dépouillé, le Pélion a perdu son ombrage. Enseveli sous ces vastes débris, Cénée, haletant, soutient l'énorme fardeau sur ses fortes épaules. Mais enfin les arbres s'entassent au-dessus de sa bouche, couvrent sa tête et ferment tout passage à la respiration. Tantôt il retombe accablé, tantôt il cherche en vain à se dégager et à soulever la forêt qui le presse : tel on voit l'Ida vaciller, ébranlé par de sourds tremblements. Ce que devint Cénée, on l'ignore. Les uns pensent qu'écrasé sous l'Othrys et le Pélion, il est descendu dans les abîmes du Tartare. Mais le fils d'Ampycus a vu du milieu des arbres amoncelés sortir un oiseau au sombre plumage, qui s'est élancé dans les plaines des airs ; moi-même j'ai vu cet oiseau merveilleux pour la première et la dernière fois. Mopsus le voit planant d'un vol léger au-dessus de notre troupe ; il l'entend pousser des cris éclatants, il le suit tout à la fois de la pensée et des yeux : «Salut à toi, s'écrie-t-il, gloire du nom lapithe ; salut à toi, Cénée, autrefois invincible guerrier, oiseau maintenant unique entre tous les oiseaux». Ce prodige est cru sur la foi du devin. Pour nous, la douleur de cette perte ajoute à notre fureur : nous nous indignons d'avoir vu tant d'ennemis s'armer contre un seul homme, et nos glaives ne cessent de se rougir de sang qu'après qu'une partie des centaures a succombé sous nos coups, et que la fuite ou la nuit ont dérobé le reste à la mort.

Là où tu as faux, c'est lorsque tu dis que God of War n'a aucun intérêt sur le plan mythologique. David Jaffe n'a pas la prétention de donner une leçon de mythologie grecque ou quoi que ce soit: au contraire, GOW est avant tout un jeu vidéo qui n'a d'autre prétention que de divertir. Il est clair que les devs affichent ouvertement le fait qu'ils refaçonnent entièrement la mythologie grecque et qu'ils s'en servent plus comme un prétexte qu'autre chose (le temple de Pandore sur les épaules de Cronos dans un désert: lolwut?). Par contre, la sauvagerie des combats est plus ou moins directement inspirée par les descriptions des auteurs (je crois même que Cory Balrog y fait allusion dans le making-of de God of War II fourni avec l'édition spéciale, à vérifier cependant).

enfin bref

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Eklerion

Merde, le pavé smiley4:

Sur le côté porte ouverte qu'enfonce mon propos, je ne partage pas ton point de vue simplement parce que je décortique son univers alors que jusqu'à présent, je ne l'avais lu nul part. Ensuite, il permet d'apprendre ou de revoir certaines choses relatives à la mythologie et ça, ne t'en déplaise, c'est toujours utile smiley29: .

_Sur le côté plagiat, je trouve ça personnellement aberrant de manquer à ce point de créativité pour pomper un personnage mythologique de premier plan.
C'est mon droit de le pointer et là encore, je n'ai pas vu quelqu'un faire l'analogie(notamment dans les tests que j'ai pus lire).

Enfin sur Kratos, honnêtement, je pense que du seul point de vue chara-design, c'est un héros sans aucun charisme(Même Spyro lui fait les fesses). Je le trouve laid, sans saveur et sans expression. Et je ne crois pas être le seul. En tout cas, ça me fait chier de le diriger parce qu'il n'émet rien. Ni aura, ni charisme, ni chakra ( smiley13 )

_Sur les ambitions de GoD of War et particulièrement de David Jaffe, je ne les ai pas inventées. Il les a répétées plusieurs fois dans des itw. Que Sony soit intervenu pour l'orienter graphiquement différemment soit, mais ça ne change rien à l'univers ou au scénario.

Pour l'univers, tu reconnaîtras sûrement que c'est une composante importante du jeu d'action. Pour le scénario, ça l'est moins mais il contribue aussi au plaisir de jeu. Or, l'espèce de resucée de mythologie matinée de toutes les références récentes -notamment en terme d'héroïc fantasy- en font -pour moi- un gloubiboulga. Va-t-en après ça me dire tout ce que tu veux, ça ne changera rien à mes impressions.

Quant au respect des auteurs grecs, il n'y en a aucun. C'est simple, net et précis.

Sur ton extrait, d'une tu aurais pu choisir la vie d'Hercule smiley10 , de deux je n'ai jamais nié la violence propre à la mythologie ni même sa férocité ou sa cruauté (cf Oedipe pour ne prendre que cet exemple). Mais c'est malheureusement la seule chose qu'a retenu GoW. Et c'est dommage.

Au passage, il apparait que le jeu Jason et les Argonautes (4 sur GK) propose un univers vraiment très attractif....

a écrit :

Il est clair que les devs affichent ouvertement le fait qu'ils refaçonnent entièrement la mythologie grecque et qu'ils s'en servent plus comme un prétexte qu'autre chose (le temple de Pandore sur les épaules de Cronos dans un désert: lolwut?)


C'est marrant parce que dans mon texte, je le cite en point fort ce fameux temple. L'idée est excellente. D'ailleurs, tu le reconnais toi-même, la mythologie est prétexte à tous les spectacles. Forcément, sans ligne directrice on verse dans le nawac, le grotesque et le nanard.

Les deux monstres que je retiens cela dit, c'est la Méduse obèse (sublissime) et le Colosse de Rhode. Zeus, lui, est hors catégorie.

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Eklerion - 19 Jan 2009

Je vois pas pourquoi un jeu qui exploite la mythologie grecque devrait forcément avoir une dimension pédagogique. osef de savoir qu'il y a plagiat ou non, les devs reprennent explicitement l'imaginaire populaire, le reste repose sur le travail extraordinaire accompli pour ce jeu par les designers et les infographistes.

Le côté goulbimachin, à la limite, je veux bien pour le 2 (où tu défonces en vrac Thésée, Icare, les Moires, etc... Mais bon, quel pied en même temps. smiley5

Après, si tu trouves que le design de God of War en général est à chier, je peux plus rien pour toi, retourne t'éclater sur Wii Music. smiley29:

Et le scénario de God of War tue, retourne jouer au premier épisode et à Chains of Olympus (le 2 a un scénar déjà plus faible, mais qui annonce le meilleur cependant pour GOWIII).

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Eklerion

Sur le côté pédagogique, je parlais de mon post sur gameweb.fr. Tu me dis qu'il est inutile ce à quoi je réponds qu'il une dimension pédagogique. Le jeu osef. CQFD !

Sur le travail extraordinaire des designers, ben voilà, on a un avis complètement différent à ce sujet. Toi t'aimes. Mais moi et la moustache on n'aime pas trop. Or avoir la moustache dans mon camp me donne un sacré avantage non ? Non ? Ah ok !

Reste qu'il est plus que limite à ce niveau là. Quant à Wii Music, le design est bien à chier. Jamais je n'oserais pas le mettre sur le même plan que GoW; quoique dans le nawac, les deux sont quand même assez performants.

Quant au scénar de God of War, objectivement il est bon. M'enfin, quand on te sert la même chose pour la xème fois, c'est bien mauvais.

ps: il y a aussi des trucs bien débiles, je pense à la troisième fille du destin qui semble sorti tout droit de blade 2 (le gros porc que Blade crame aux ultra-violets). Putain mais elle est carrément entourée de hachoirs qu'il faut actionner. Or moi ce genre de truc ca me rebute. Qu'est-ce qu'elle fout entourée de machines faîtes pour la découper elle et rien d'autre. Ce genre de détails débiles, ça m'agace. C'est du script de demeuré.

Sinon y a un manque de liberté dans gow que ce soit dans l'amélioration des armes ou la progression que ça oblige les devs à de la surenchère dans le seul domaine qu'il connaisse : la mise en scène. Tjrs plus violent, des monstres tjrs plus gros qui ressemblent à rien et des armes elles-aussi tjrs plus grosses. Ca a forcément ses avantages (les quatre chevaux magnifiques) et ses inconvénients (le temple des trois soeurs du destin).

Sinon il y a une scène monumentale dans gow (pas quand on chevauche Pegase, la pauvre tentative de diversifier le gameplay fait bien tiep) Par contre, quand on se balance de piliers en piliers avec les lames du chaos et que l'ensemble s'effondre progressivement: du très grand art... Du grand spiderman aussi smiley32

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Wesker est une pâle copie de Neo smiley29:

Ekletron: Sûr qu'Atropos est naze à buter, mais vu le duel d'anthologie juste avant, je veux bien pardonner cet écart.

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- Jamais

voilà.

Mais je maintiens que GOW est très bon, je ne vois d'ailleurs pas ce que tu peux lui reprocher en termes de game design.

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- Jamais

mouais why not
C'est vrai que niveau boss, GOW est très TRES faible.

Mais faut dire que le combat contre l'hydre m'a mis une telle claque dans la gueule que j'aurais été prêt à endurer tout et n'importe quoi par la suite smiley5

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Eklerion

J'ai sauvé le test de Soda smiley31

Sur l'exploitation de la mythologie, je le répète, ce n'est pas le fait de vouloir apporter du sang frais, c'est au contraire excellent. C'est la manière dont c'est fait, sans cohérence et en mangeant à tous les rateliers.


Exemple parmi d'autres :

god_of_war_002-large.jpg


Sinon, c'est vrai cette histoire de poubelle ? Ca serait hilarant. T'as lu ça où ?

L'IA de la nuit dernière