• Divers
  • COVID : We're not going anywhere. We're going to dig in here !

dem (en minuscules)

Axelvak - 07 Apr 2020

Morandini, Hanouna, même combat, je ne comprends pas qu'on en parle encore.

Kenjincognito
Silvername

Dem - 07 Apr 2020

Et Barthès

J'ai pas fini ma crise d'ado
TrinitronGO
Nintentraumatisé
Cheftrottoir

Instant - 07 Apr 2020

Ah non, je pense pas du tout que ce soit un pantin de LREM, au contraire vu que comme tu le dis il sert de caisse de raisonnance aux pire du mouvement GJ et a pleins de truc a la con. Par contre il a la benediction du grand chef sinon il n'aurait jamais eu Schiappa ou d'interview.

Nintentraumatisé
Cheftrottoir

TrinitronGO - 07 Apr 2020

pepe_stress

Non mais serieux ...

L'aurtograf? Pourkwa fèr?
ashitaka18
I'm your handsome white Jesus motherfucker!
Axelvak

TrinitronGO - 07 Apr 2020

On récolte ce qu'on a semé. A un moment il va bien falloir tester la population qui n'est pas admise dans les hôpitaux.

J'ai pas fini ma crise d'ado
TrinitronGO
Invité(e)
profil_supprime

TrinitronGO - 07 Apr 2020

Quand tu commandes sur Aliexpress

Che vais en vacanches en greyche
Grey-Che

https://www.departement13.fr/le-departe … grand-est/

Les régions qui se taclent pour avoir des masques
smiley137

Edit par Grey-Che (07 Apr 2020)

Instant

Grey-Che - 07 Apr 2020

Le sud est pas protégé par Super Raoult comme le montre les stats des décès dans la région ?
OSEF des masques.

Le père Mitard va te mettre tricard.
Pere_mitard

profil_supprime - 07 Apr 2020

Dernier avertissement : c'est terminé le harcèlement contre les modos. Chocolat a déjà pris une légitime semaine de mitard la semaine dernière pour cette même raison, l'équipe de modération n'hésitera pas à en faire de même avec toi.
Tenez-vous le pour dit.
#StopHarcèlement

L'aurtograf? Pourkwa fèr?
ashitaka18

profil_supprime - 07 Apr 2020

Vu le nombre de gens qui ont des masques ali express marche mieux que le gouvernement.

Invité(e)
profil_supprime

Pere_mitard - 07 Apr 2020

Euh pour le coup je visais absolument pas Nyzer smiley6

Ally McBeal
Blueberry

profil_supprime - 07 Apr 2020

Je crois que c'est une blague. Choco qui n'aurait pas posté pendant une semaine, on l'aurait vite remarqué.

Invité(e)
profil_supprime

Blueberry - 07 Apr 2020

Il a été banni deux jours smiley131

Ally McBeal
Blueberry

profil_supprime - 07 Apr 2020

Ah au temps pour moi !

Mais du coup, en relisant le post de Père Mitard, ça me conforte dans mon analyse pepe_feelsgood

Nintentraumatisé
Cheftrottoir

Blueberry - 07 Apr 2020

Le # fait douter oui. smiley61

J'ai pas fini ma crise d'ado
TrinitronGO
Invité(e)
profil_supprime

Le déconfinement, une équation complexe
https://www.lemonde.fr/planete/article/ … _3244.html
via Le Monde

C'est l'une des premières bonnes nouvelles depuis le début du confinement, le 17 mars. Le nombre d'individus contaminés par chaque personne infectée par le SARS-CoV-2 est désormais inférieur à un, voire beaucoup moins dans certaines régions, a annoncé le ministre de la santé, Olivier Véran, lors de son point presse du lundi 6 avril.

Ce chiffre, proche de trois avant que les Français ne soient « assignés à résidence », montre que la chaîne de transmission s'est considérablement ralentie, même s'il faudra du temps pour que la pression sur le système de santé diminue. Plus de 7 000 patients atteints par le Covid-19 sont actuellement hospitalisés en réanimation, mais 14 000 lits pourraient être nécessaires à terme, selon les estimations du gouvernement (pour une capacité de 5 000 lits avant le début de l'épidémie).

Lire aussi: Le coronavirus en France : le pire bilan humain quotidien de l'épidémie montre « que ce n'est pas terminé, loin de là »
Revers de la médaille, en freinant la vague épidémique, les autorités ont aussi retardé le moment où suffisamment de Français seront immunisés pour stopper définitivement la propagation du coronavirus. Faute de disposer d'un vaccin, cette « immunité de groupe » ne peut être acquise que par un contact avec le SARS-CoV-2, le virus responsable du Covid-19. Pour l'atteindre, les épidémiologistes estiment qu'environ 60 % de la population devrait avoir été infectée.

Cet horizon paraît encore très lointain : selon les évaluations des épidémiologistes de l'Imperial College de Londres, reprises par le ministre de la santé, seulement 3 % de la population française serait aujourd'hui immunisée.

Risque de deuxième vague
« Il y a encore beaucoup d'incertitudes sur le nombre de personnes ayant été infectées, mais nous sommes très probablement bien en dessous du seuil nécessaire à une immunisation collective », confirme Simon Cauchemez, modélisateur à l'Institut Pasteur et membre du conseil scientifique créé par le ministère de la santé pour « éclairer la décision publique » face à l'épidémie de Covid-19. « Le confinement a permis de considérablement ralentir l'épidémie mais nous ne sommes pas sortis d'affaire. Nous sommes à un moment charnière et il est essentiel que nous maintenions tous nos efforts pour pouvoir fortement résorber le nombre de malades Covid-19 », poursuit le chercheur, soulignant que « de mesures fortes devront être maintenues au-delà du confinement pour éviter une reprise rapide de l'épidémie ».

Comme d'autres pandémies l'ont montré dans l'histoire, notamment celle de la grippe espagnole de 1918-1919, une immunité collective insuffisante expose à une ou plusieurs vagues suivantes qui font des ravages en l'absence de toute mesure de contrôle. Dans le cas du Covid-19, l'objectif est d'atteindre ce seuil de 60 % sans que les capacités hospitalières soient jamais débordées. La question n'est pas tant de savoir « si » on va être infecté mais « quand » et si on pourra être soigné en cas de complication.

Lire aussi: Coronavirus : suivez la propagation de la pandémie en France et dans le monde
De ce fait, plus encore que sa mise en place, la sortie du confinement est une opération particulièrement complexe. Pour avoir une idée de ce à quoi pourrait ressembler « le jour d'après », les autorités s'appuient sur des « modèles » mathématiques. Paramétrés avec différentes données issues de la surveillance de l'épidémie, ils donnent un aperçu de l'exercice d'équilibriste qui attend les pouvoirs publics.

Tous ces modèles reposent sur une donnée-clé appelée « nombre de reproduction », ou « R », dans le jargon. Ce chiffre correspond au nombre de personnes que chaque malade contamine en moyenne. Tant que le R est supérieur à 1 (un individu infecté contamine plus d'une personne), la courbe épidémique continue de monter. Elle peut cependant être ralentie par des mesures de distanciation sociale. Lorsque le R atteint la valeur 1, la courbe atteint son pic et reste en plateau. Elle redescend quand le R devient inférieur à 1, mais avec un risque de rebond lors de la levée des mesures contraignantes.

Stratégie du « stop and go »
Plusieurs modèles ont été imaginés pour contrôler la diffusion du virus dans la population. L'un des plus simples – sur le papier – consiste à alterner des périodes de « distanciation sociale » et des périodes de retour à la vie normale : c'est le « stop and go ». Dans une étude publiée en ligne le 16 mars, l'équipe de l'épidémiologiste britannique Neil Ferguson suggère ainsi d'utiliser comme indicateur le nombre d'admissions en réanimation : dès que l'on franchit le cap des 100 par semaine, les mesures de distanciation sociale doivent être réactivées, et dès que l'on retombe sous la barre des 50, elles peuvent être levées. Pour qu'une telle stratégie fonctionne, les auteurs estiment que le confinement doit être en place au moins les deux tiers du temps, jusqu'à ce qu'un vaccin soit disponible.

Le modèle de l'épidémiologiste américain Marc Lipsitch, mis en ligne le 24 mars sur le site spécialisé Biorxiv, reprend cette idée de stop and go, avec une dimension supplémentaire de saisonnalité. Dans cette hypothèse, le SARS-CoV-2 serait comme la grippe, sensible aux variations climatiques. L'arrivée de l'été aux Etats-Unis permettrait de faciliter le contrôle de l'épidémie de Covid-19 mais exposerait à une « résurgence intense » à l'automne.

Lire aussi: Quand et comment pourrons-nous ressortir de chez nous ? Les enjeux du « déconfinement » expliqués en schémas
Cette deuxième vague est d'autant plus à craindre qu'elle s'ajouterait à la grippe saisonnière, avec un impact d'autant plus fort sur le système de santé. Comme dans le scénario britannique, il faudrait plusieurs périodes de confinement et de déconfinement – sept – avant de parvenir à une immunité collective en 2022. Tant qu'un vaccin n'est pas disponible, la seule variable d'ajustement est le nombre de lits en réanimation : plus il est important, plus les pics peuvent être hauts, ce qui réduit d'autant le nombre de vagues nécessaires pour atteindre le seuil d'immunité collective.

Les chercheurs reconnaissent aussi que cette stratégie de contrôle de la maladie est délicate à tenir car elle suppose des capacités à suivre le nombre de cas comme le lait sur le feu avec des décisions de levée et de reprise du confinement dès que des seuils sont franchis. Les disparités régionales compliquent encore la donne avec « différentes épidémies à différents stades », souligne Simon Cauchemez. Les grands mouvements de population pendant les vacances d'été pourraient également faciliter une reprise de l'épidémie.

Un déconfinement par âge
Pour s'affranchir de cette complexité, d'autres modèles suggèrent une différenciation sur la base de l'âge. L'idée de départ est simple : puisque le coronavirus tue davantage les personnes âgées, il convient de les protéger le plus longtemps possible en les laissant confinées, tout en autorisant les moins âgés à ressortir de chez eux. C'est ce que recommande l'entreprise française de conseil Public Health Expertise, spécialisée dans la modélisation de stratégies médicales.

Son simulateur de la population française reproduit, sur 500 000 personnes virtuelles, la structure d'âge et le nombre de contacts entre personnes en fonction de leur foyer, travail ou école. « Nous avons été surpris de voir qu'une levée de confinement en deux étapes, d'abord les moins de 65 ans, puis trois mois plus tard les plus de 65 ans, les plus à risque, cause presque dix fois moins de décès qu'une levée complète du confinement », résume Martin Blachier, l'un des cofondateurs.

Avec une méthodologie plus simple, des chercheurs du groupe « Evolution théorique et expérimentale » de l'université de Montpellier arrivent à des conclusions similaires. Proposé à des fins essentiellement pédagogiques, leur simulateur utilise des hypothèses très générales permettant d'apprécier l'effet de différents niveaux de confinement selon l'âge. « Un des effets est que maintenir un contrôle de l'épidémie strict pour les personnes de plus de 50 ans semble essentiel pour limiter le nombre cumulé de décès », indique Samuel Alizon, chercheur CNRS, coauteur de cette initiative.

Une quarantaine au cas par cas
Outre les approches à l'échelle de la population, telles que le confinement, la lutte contre la pandémie s'appuie sur des mesures individuelles. Cette technique dite de « contact tracing » consiste, une fois un malade identifié, à repérer et à isoler les personnes ayant été en contact avec lui. La Corée, la Chine ou Singapour lui attribuent leur succès dans la maîtrise de l'épidémie.

Cela suppose de recourir à un traçage numérique de ces contacts au moyen d'applications pour smartphone. Plusieurs projets en Europe ou aux Etats-Unis ont été proposés avec comme contrainte de concilier les impératifs de santé publique et la protection de la vie privée. En France, lors de son audition par la mission d'information parlementaire sur l'état d'urgence sanitaire, le 1er avril, le premier ministre, Edouard Philippe, a indiqué qu'un tel suivi « serait peut-être possible sur le fondement d'un engagement volontaire, pour mieux tracer la circulation du virus ». Une étude de l'université d'Oxford parue dans Science le 31 mars a montré que, sous réserve d'une forte participation de la population, cela pouvait faire baisser le nombre de contamination et entraîner le déclin de l'épidémie.

Au-delà des questions éthiques et légales, de nombreuses interrogations techniques existent comme la fiabilité des détections, la sécurité du dispositif ou les contraintes d'un déploiement à grande échelle. En outre, de telles solutions supposent d'avoir des tests diagnostiques en quantité suffisante pour dépister toutes les personnes présentant des symptômes, même légers.

LE MINISTRE DE LA SANTÉ A ANNONCÉ, LE 6 AVRIL, LE LANCEMENT D'UNE VASTE OPÉRATION DE DÉPISTAGE DANS LES EHPAD, DONT CERTAINS ONT ÉTÉ DÉCIMÉS PAR LA MALADIE
Pour déterminer plus précisément qui pourra sortir et qui devra rester chez soi, les autorités auront aussi besoin de réaliser à très grande échelle des tests de dépistage. Lors de son point presse du 28 mars, Olivier Véran a annoncé que « la France a passé une commande pour 5 millions de tests rapides qui permettront d'augmenter nos capacités de dépistage de l'ordre de 30 000 tests supplémentaires par jour au mois d'avril, 60 000 au mois de mai et plus de 100 000 tests par jour au mois de juin ». Ces tests sérologiques décèlent la présence d'anticorps spécifiques contre le SARS-CoV-2, preuve que la personne a été infectée par le virus. Cette immunité pourrait servir de « passeport » pour échapper à des mesures de quarantaine.

Lire aussi: Le coronavirus dans le monde : plus de 73 000 morts et 4 milliards de personnes confinées… le point sur la pandémie
Le ministre de la santé a annoncé, le 6 avril, le lancement d'une vaste opération de dépistage dans les Ehpad, dont certains ont été décimés par la maladie. Selon le dernier bilan, au moins 2 417 décès ont été enregistrés depuis le début de l'épidémie dans les maisons de retraite médicalisées et autres établissements médico-sociaux.

Dans son avis du 23 mars, le conseil scientifique indiquait qu'il émettrait « prochainement » un avis sur la stratégie de sortie du confinement. Le conseil soulignait qu'avant « d'envisager une sortie du confinement le gouvernement devra s'assurer que l'objectif de l'intervention est atteint ».

« Cette décision pourra être prise sur la base d'indicateurs épidémiologiques indiquant notamment que la saturation des services hospitaliers, et des services de réanimation en particulier, est jugulée. Le gouvernement devra en outre s'assurer que les éléments d'une stratégie postconfinement sont opérationnels. »

La Triforce de la sudation
TS_JBG

TrinitronGO - 07 Apr 2020

Un pote a Taiwnoser

Homme déconstruit
b3y0nd

TrinitronGO - 07 Apr 2020

un enfoiré qui garde ses tests pour lui tout seul et refuse de les partager smiley117

Invité(e)
Invite

gegz britney

GenerousWatchfulBlacklab-size_restricted.gif

Fiché HS
Britney

?

Le Astal de la NBA
tsukoyumi

- Jamais

Les amerifats vont prendre cher...

Fier comme un beauf.
Marks

- Jamais

Super le fat shaming

ancien con embêtant
Ancien-Combattant
ça vole pas haut
Linupao

Complot.Au Royaume-Uni, des antennes 5G vandalisées sur fond de rumeurs liées au coronavirus 

Après la diffusion sur Internet de théories du complot selon lesquelles la technologie 5G faciliterait la propagation du virus Covid-19, une vingtaine d'antennes-relais ont été incendiées ces derniers jours dans les grandes villes du royaume.

Instant

https://www.rtl.fr/actu/debats-societe/ … 7800367689
https://www.lefigaro.fr/flash-eco/trans … i-20200407

Un poil plus complexe que la lecture d'une info de RTL mal comprise (pléonasme) par Pascal Prololo
A moins bien sûr qu'un unique pilote soit capable de piloter simultanément deux avions cargo smiley82

Instant

Linupao - 07 Apr 2020

Faut voir, l'info à été reprise par Hanouna, les grandes gueules ou Pascale prololo ?? C'est peut être crédible en fait ?

J'ai pas fini ma crise d'ado
TrinitronGO
Zieutteur

- Jamais

Merde alors, les chinois ne trafiquaient pas leurs nombre de mort alors? pepe_stress

je me lève le matin que pour les confs de jv
Kotors

- Jamais

Praud a tout résumé quand on lit les articles, cf le figaro : «A la suite de l'évolution récente des contrôles sanitaires effectués par les autorités chinoises à l'arrivée».

Instant

- Jamais

oui oui et c'est ce seul pilote qui devait assurer toutes les rotations des avions.

J'ai pas fini ma crise d'ado
TrinitronGO
Instant

Nan mais l'info est réelle (et le côté ubuesque assez cocasse en effet), les deux liens que j'ai posté l'atteste ainsi que l'article du Monde qui annonçait bien avant déjà la mise en quarantaine le 31/03 du pilote Air France, je mets juste en relief le fait que les propos hyper caricaturaux et théâtraux de Cnews (surprise) sont parcellaires et putaclic à souhait (re-surprise).

Sinon j'en sais pas plus que les articles postés, je pense pas qu'on manque dans l'absolu de pilote (idéalement faudrait les tester...) mais qu'il faut effectivement valider une procédure auprès des deux autorités pour un passage express par Shanghai sans descendre de l'avion.

Après les 2 articles précisent bien que les rotations aériennes ne sont pas bloquées dans leur ensemble pour autant.

J'ai pris cher man !
sherman

Dans l'article RTL on a surtout l'impression qu'on a peur que ça arrive a nouveau et qu'on cherche comment l'éviter.

Parceque ça dit pas si le pilote a été testé en France avant,il a très pu devenir positif en arrivant là bas, d'autant que les tests sont carrément pas fiables.
Bizarrement ça fait moins passer la France pour de charlots alors Praud a préféré résumer en une phrase a la con smiley16

Zieutteur

La Chine qui prétend que le pilote est positif pour clouer la cargaison au sol et pouvoir tout revendre plus cher aux ricains pepe_feelsgood

Ceiling Clott is watching you masturbate
clott

Israel health minister, who claims coronavirus is 'divine punishment' for homosexuality, tests positive for COVID-19

charlie

Très limité
LimitedInc
Che vais en vacanches en greyche
Grey-Che
The tag
The Baygon

Invité(e)
profil_supprime
1994 : la fin du jeu vidéo.
Tchiko

clott - 07 Apr 2020
OK, mais a-t-il une Switch ?

triquiqette
Triquy

- Jamais

La ville qui rattrape des stats des pays les plus touchés à elle seule smiley45

  • Divers
  • COVID : We're not going anywhere. We're going to dig in here !