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I'm your handsome white Jesus motherfucker!
Axelvak

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Like A Dragon : Infinite Wealth
Dans la lignée du précédent opus, même si cette fois l'équipe sera divisée en deux la plupart du temps. On retrouve des missions secondaires touchantes et drôles pour certaines et l'histoire principale à son lot de moments WTF.
Le système de combat gagne un peu de souplesse et permet de se positionner pour enchaîner les ennemis plus facilement. J'ai trouvé le jeu moins dur que Yakuza 7.
Le contenu annexe est sans fin : entre les licences de Sega disponibles sur les bornes, les mini jeux dont l'inspiration de certains ne sera pas étrangère aux fans de DreamCast, les deux gros jeu en quête annexe, il y a de quoi oublier la quête principale pour se perdre pendant des heures. Par contre, autant sur Yakuza 7, le jeu de gestion des sociétés passait bien, autant les ersatz de Animal Crossing et de Pokémon m'ont bien gavé. J'aurais préféré que la parodie de Tu der ou encore Crazy Taxi soient plus mis en avant que ces deux-là.
Sega à trouvé son genre de JRPG et je serai client pour les prochaines itérations si la formule est conservée.

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Return of the Obra Dinn
Autour d'une discussion sur les jeux casse-tête avec un ami de passage à la maison, je lui avoue que le jeu traîne dans le backlog depuis quelques années (avec Outer Wilds). S'ensuit une longue argumentation comme quoi il faut absolument qu'il faut que je joue à ces deux jeux sans tarder. Je lance donc Obra Dinn en remettant à plus tard ma partie de Outer Wilds commencée il y a quelques années.
J'adore l'ambiance années 80 avec le rendu du MacIntosh, par contre je trouve la boucle de gameplay un peu trop pauvre : les chapitres se déroulent trop souvent de la même manière : trouver un cadavre puis remonter la piste des morts pour arriver à l'acte I du chapitre.
Par contre le jeu est très ingénieux : j'ai adoré la diversité des indices proposés : les scènes, l'audio, le journal de bord… en fait c'est Cluedo rencontre le Sudoku. On recoupe les indices de chaque côté pour retrouve l'identité du corps et sa cause de décès. Sauf que des fois le jeu est un peu tatillon sur la cause de la mort…
L'ambiance musicale est très réussie. Les jingles, les thèmes de chaque chapitre, la musique qui colle au thème et à l'époque, la qualité des acteurs au niveau des accents…
Dommage que le jeu soit un peu trop court et que la boucle de gameplay un peu trop usée à la fin. Mention spéciale aux survivants du navire quand on sait tout ce qu'ils ont vécu.