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J'ai vu un post de lui sur linkedin expliquant qu'il les a eu 10mn chrono au téléphone, c'est comme ça que je suis tombé sur l'article, ça me paraît un peu juste pour une quelconque défense. smiley132

Article complet :

«Erreurs», «partis pris», «approximations»... Pourquoi la BD sur le climat «le Monde sans fin» de Jancovici suscite des critiques


Vincent Coquaz

Si le constat posé par le best-seller 2022 sur l'urgence climatique fait consensus, les pistes de solutions qui y sont esquissées par l'ingénieur nourrissent le débat. Jean-Marc Jancovici réagit pour «CheckNews» aux principales critiques.


Si elle a été l'objet d'une razzia dans les librairies, atteignant des niveaux de ventes rares , la BD de Christophe Blain et Jean-Marc Jancovici, le Monde sans fin , a aussi récolté, depuis plusieurs mois, son lot de critiques. Militants écolo et chercheurs ont épinglé des raccourcis, des erreurs ou des partis pris. CheckNews passe en revue les principaux points de la BD qui font consensus, et ceux qui font débat.


Avec le Monde sans fin , l'intention assumée du dessinateur Christophe Blain est de donner à lire «la parole» de Jancovici. L'album prend l'aspect d'une longue «conférence dessinée» de l'ingénieur, où l'on retrouve les thèses qu'il égrène depuis des années à toutes les tribunes : l'urgence à sortir des énergies fossiles (émettrices de gaz à effet de serre et promises à épuisement), la nécessité de modes de vie beaucoup plus sobres (les gains de performance énergétique étant une fuite en avant) et, pour ce qui reste indispensable aux sociétés modernes, le recours au nucléaire (les autres énergies décarbonées présentant des «limites physiques» qui rendraient leur déploiement à grande échelle inenvisageable). Pas étonnant, à partir de là, que l'on retrouve les mêmes louanges et critiques adressées à l'album que celles qui visent depuis longtemps «Janco».


Côté pile : les constats qu'il dresse autour de la crise climatique font consensus auprès de tous les interlocuteurs sollicités par Libération . Tous jugent les deux premiers tiers essentiellement fondés «sur des faits établis, et bien documentés» . Alors que les effets du changement climatique vont se faire de plus en plus pressants, peu s'attardent à débattre sur l'idée qu'une raréfaction des ressources fossiles viendra accélérer la crise. Le fait est que nos modes de vie sont si dépendants de ces énergies émettrices de gaz à effet de serre (GES) qu'une sobriété - choisie ou subie - est inéluctable.


Une peinture à charge des énergies renouvelables ?


Côté face, en revanche, lorsque Jancovici aborde les moyens d'amortir cette chute, son discours ne fait plus l'unanimité. Selon l'ingénieur, l'énergie que l'on peut tirer de l'éolien ou du solaire sera toujours insuffisante au regard des besoins de nos sociétés actuelles, même engagées dans la sobriété. Le nucléaire, en revanche, même s'il «ne pourra pas remplacer toutes les énergies fossiles» , nous permettrait «de conserver une partie, et une partie seulement, de ce que nous avons aujourd'hui» , explique-t-il dans la bande dessinée.


Miser sur les énergies renouvelables (EnR), notamment l'éolien et le solaire, serait une aberration technique ? En 2021, le gestionnaire de réseau d'électricité français RTE , tout comme l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie ( Ademe ), ont proposé des scénarios dans lesquels des sociétés modernes pourraient fonctionner avec un mix électrique entièrement composé de renouvelables, déployé d'ici à 2050. L'Agence internationale de l'énergie propose quant à elle un scénario «zéro émission nette» , compatible avec un réchauffement de 1,5° en 2100, fondé sur une hypothèse où 88 % de l'électricité mondiale a pour origine des EnR (dont 68 % de solaire et d'éolien) d'ici à la moitié du siècle.


Certes, le fait que ces scénarios existent ne les rendent pas nécessairement simples à mettre en oeuvre. Mais les alternatives jouant leur va-tout sur le nucléaire ne vont pas non plus de soi. Peu après la parution des scénarios de RTE, Thomas Veyrenc, directeur exécutif chargé de la stratégie, de la prospective et de l'évaluation de l'organisme, jugeait face à l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques que «les scénarios [pour lesquels] les incertitudes techniques sont aujourd'hui les plus faibles sont ceux qui combinent un fort développement des énergies renouvelables - parce que ce sont des technologies que l'on connaît - et un parc nucléaire important, qui reposerait sur les réacteurs existants prolongés sur la trajectoire de référence, donc pas au-delà de soixante ans, ainsi que sur les technologies qui ont déjà fait l'objet d'une instruction et d'une validation de leurs principales options de conception et de sûreté. [...] Dans notre analyse, le risque auquel nous faisons référence n'est pas le risque d'échouer à relever ces paris, mais bien celui d'y parvenir trop tard par rapport à l'horizon de la neutralité carbone en 2030 ou 2050, qui est très proche.»


Interrogé par Libération , Jancovici note d'abord que l'essentiel des personnes qui prennent position contre la bande dessinée «critiquent en fait des choses qui ne sont pas dans la BD». De fait, certaines critiques sur le livre portent en réalité sur des prises de paroles ou interventions de l'ingénieur parfois anciennes, et qu'on ne retrouve pas dans le best-seller de la rentrée. Jancovici insiste sur le fait que l'ouvrage «se garde bien de parler de tel ou tel scénario» . «L'album passe trente pages à expliquer que le monde des EnR est un monde dont on sort. Et la seule chose que l'on dit, nous, c'est qu'on n'y re-rentrera pas en gardant le monde actuel. Parce que le monde actuel, on a eu besoin de sortir des EnR pour l'avoir. Avec le monde des EnR, on ne fera pas deux milliards de tonnes d'acier par an, on ne fera pas de tee-shirts à 5 euros, on ne fera pas de viande à tous les repas, on ne fera pas des villes avec 10 millions de personnes dedans.» Et de renchérir : «L'éolienne, comme les panneaux solaires, est faite avec du charbon, du pétrole et du gaz. Elle est faite avec la mondialisation. Elle est faite avec la productivité industrielle issue des combustibles fossiles. Mon avis, c'est que la productivité industrielle issue des combustibles fossiles est indispensable pour faire des éoliennes pour pas cher. Or il faut se débarrasser des combustibles fossiles. Le jour où on n'a plus les combustibles fossiles, on n'a plus l'industrie qui va avec les combustibles fossiles et à ce moment, les éoliennes, vous allez les faire comment ? Avec des pierres de taille et des forges en charbon de bois ?»


Concernant les scénarios qui jugent soutenable un système donnant autant de poids aux EnR qu'au nucléaire, Jancovici estime que leurs auteurs «font un présupposé qui est extrêmement hardi, qui est de supposer qu'on va garder des coûts bas et la facilité à déployer des éoliennes et des panneaux solaires, dans un monde dans lequel il n'y a plus de combustibles fossiles. Moi je dis qu'on n'en a pas fait la démonstration aujourd'hui. Mais encore une fois, ce sujet est "hors-BD".»


Des exemples à l'intérêt «plus polémique qu'illustratif» ?


Jancovici a été largement critiqué pour une planche expliquant qu'il faudrait planter une éolienne tous les kilomètres si toute l'énergie qu'on utilisait en France venait de l'éolien. Un scenario, insistent les détracteurs de la BD, que nul n'envisage, et qui serait brandi comme un repoussoir pour les énergies renouvelables. Lors de notre échange, l'ingénieur a mentionné spontanément cette critique récurrente : «C'est pour donner un ordre de grandeur. Quelqu'un a dit que ça n'avait pas de sens qu'on ait que de l'éolien. En effet, ça n'a pas de sens, car ça n'est pas le sujet. C'est juste un calcul illustratif, pour faire comprendre la quantité faramineuse d'énergie qu'on utilise aujourd'hui.»


Mardi 10 janvier sur LinkedIn , l'ingénieur détaillait son calcul, rappelant qu'il concernait toute l'énergie utilisée annuellement sur le territoire (carburant, moyens de chauffage, électricité), et pas seulement l'électricité. «J'ai pris des éoliennes terrestres moyennes de 3 MW dont le facteur de charge actuel est de l'ordre de 25 %. Cela fait 6,5 GWh par éolienne, et pour remplacer 2 600 TWh primaires, ça fait donc 400 000 machines, soit environ une tous les km (ce serait tous les 1,2 km très exactement).»


Au-delà du fait de mettre en scène une hypothèse extrême, c'est le calcul lui-même qui est attaqué. Cédric Philibert, chercheur associé au Centre énergie et climat de l'Institut français des relations internationales, avait ainsi publiquement jugé «trompeur» de baser le calcul sur l'énergie primaire. «Primaire, c'est-à-dire avant toutes les déperditions d'énergie, notamment dans les centrales thermiques» , souligne-t-il auprès de Libération. «Quand on regarde l'énergie finale, la consommation est de l'ordre de 1 600 TWh. De plus, les éoliennes qu'on installe aujourd'hui ont plutôt 3,5 MW de puissance et 28 % de facteur de charge...» Sur le réseau social professionnel, Jancovici juge «tout à fait exacte» cette critique de Philibert selon laquelle «il faudrait plutôt prendre comme base l'énergie finale» puisque «les éoliennes produisent directement de l'énergie finale et évitent les pertes thermiques du nucléaire». «Mais par ailleurs, avec juste de l'éolien, il faudrait du stockage intersaisonnier voire interannuel via du gaz, et le rendement de chaîne électricité/gaz/électricité est de 25 % environ. La perte de 75 % pour le stockage d'une partie de l'électricité (que j'ai aussi laissée de côté dans ce calcul au premier ordre) "compense" le gain sur la production électrique et, l'un dans l'autre, l'ordre de grandeur reste le bon», précise l'ingénieur.


Une réponse «qui confirme» Cédric Philibert «dans l'idée que [ce calcul de Jancovici] a plus un intérêt polémique que réellement illustratif : il démonte une proposition que personne ne soutient. Le mix solaire, éolien et hydraulique a besoin de bien moins de stockage que ça. En introduisant toutes les flexibilités disponibles (gestion de la demande, batteries des véhicules et stationnaires, Step, interconnexions), le rôle attribué à l'hydrogène électrolytique dans le scénario 100 % renouvelables se limite à 2,5 % de la consommation totale d'électricité en 2050, et donc les pertes associées à 5 % au total... qui seraient sans doute perdues de toute façon par écrêtage. La variabilité de l'éolien et du solaire ne compense donc pas - et de très loin - le gain sur la production d'électricité.» Auprès de Libération , il ajoute : «Le problème est surtout, selon moi, que cette image va véhiculer une idée fausse des besoins de l'éolien.» Il relève que le scénario de RTE pour une stratégie 100 % EnR en 2050 est jugé soutenable avec moins de 35 000 mâts d'éoliennes à des performances inférieures aux meilleures installations actuelles, et entre 155 000 et 250 000 hectares dédiés au photovoltaïque.


Une minimisation des risques du nucléaire ?


Sur les sujets des EnR, mais aussi et surtout sur celui du nucléaire, le Monde sans fin va jusqu'à diviser la Revue de l'association des anciens élèves et diplômés de l'Ecole polytechnique . En mars, l'ingénieur François-Xavier Martin y publiait un texte qui saluait «l'aspect incontestablement pédagogique et réussi de la BD», tout en regrettant des «inexactitudes» voire un «rassurisme» sur le nucléaire : «L'argumentation de la BD tend dès la page 126 à minimiser les possibilités de remplacement rapide des énergies existantes par du renouvelable accompagné du stockage destiné à en pallier les intermittences. Est tout d'abord mise en exergue "la part (actuelle) infime de l'éolien (1,3 %) et du solaire (2,3 %)" sans mentionner qu'au niveau mondial leur production d'électricité (croissante) est déjà supérieure à celle du nucléaire (stagnante et condamnée à le rester pendant de nombreuses années, compte tenu du délai incompressible de mise en route de nouveaux réacteurs).» Dans le numéro suivant de la revue, c'est au tour de Bernard Lerouge, ancien physicien des réacteurs nucléaires au CEA, de prendre la plume . Et de voler au secours de Jancovici, en pointant «une critique maladroite de l'énergie nucléaire» de François-Xavier Martin.


Diverses critiques reprochent également à Jancovici de passer un peu vite sur la problématique des déchets ou des victimes d'accidents. «Plaider en faveur du nucléaire n'autorise pas à en minimiser les risques et à badiner sur le nombre de victimes au motif qu'elles sont beaucoup moins nombreuses que les accidentés de la route et les cancers de la cigarette» , dénonçait ainsi un article du magazine Alternatives économiques paru en décembre . «Un accident grave est toujours possible, c'est l'ASN [Autorité de sûreté nucléaire, ndlr] qui le dit, et ses conséquences matérielles et humaines sont dans tous les cas extrêmement lourdes, même s'il y a des débats sur les bilans des catastrophes passées.»


Cette même question a, d'ailleurs, été au coeur d'une récente attaque portée contre la BD, inattendue dans sa méthode : mi-décembre, de faux représentants de la maison d'édition Dargaud ont démarché de nombreuses librairies pour faire insérer dans l'ouvrage un texte contestant les thèses défendues par l'auteur. «La vision des accidents de Tchernobyl et de Fukushima» portée par la BD, ou le nombre «de morts et de personnes contaminées par le nucléaire» mentionné par Jancovici, y étaient dénoncés comme «un révisionnisme et un négationnisme parmi les plus grossiers du livre» . Dans le Monde sans fin, s'appuyant sur le travail de l'Unscear ( «l'équivalent du Giec, mais pour la radioactivité» ), Jean-Marc Jancovici résume l'accident de 1986 à «une trentaine de morts à bref délai» ainsi que «6 000 personnes» qui ont développé un cancer de la thyroïde, «qui se traite bien» . Tout en précisant qu'il faut y ajouter «la panique et la peur de la radioactivité» qui, elles, ont «fait plus de dégâts» .


Si l' Unscear écrit bien «[qu']il n'existait, vingt ans après l'accident, aucune preuve d'un impact majeur d'une exposition aux rayonnements sur la santé publique» , ce comité des Nations unies refuse toutefois de prendre position sur le nombre de décès global, notamment en raison du manque de confiance dans certaines données fournies par les scientifiques des pays touchés. Illustration du flou qui règne sur le bilan : en 2005, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) reconnaissait moins de 50 morts attribués aux radiations (liquidateurs et victimes du cancer de la thyroïde compris). Elle estimait toutefois que ce chiffre pourrait s'élever, à terme, à 4 000 décès au sein des populations les plus exposées. D'autres agences, comme le Centre international de recherche sur le cancer, évaluaient que, d'ici à 2065, de 3 400 à 72 000 cancers mortels seraient imputables à l'incident. Sur ces sujets, là encore, Jancovici s'agace et balaye les critiques d'un revers de la main : «Ça fait vingt ans que je répète la même chose concernant Tchernobyl et ça fait vingt ans qu'il y a plein de journalistes qui me disent oui, mais quand même, il y a des gens qui disent que... Très bien. Il y a des gens qui disent que. A eux de prouver qu'ils ont raison. Les épidémiologistes n'ont jamais été capables de mettre en évidence par des études de cohorte des choses qui sortent du bruit de fond [les variations attendues des cas de cancers] . Personne n'a jamais été capable de mettre quoi que ce soit en évidence. Ça ne veut pas dire qu'il n'y a pas eu, ça veut dire qu'on ne sait pas.»


Des EnR qui coûtent ou qui rapportent ?


Parmi les critiques de l'ouvrage relayées par les détracteurs de Jancovici, toutes n'ont cependant pas le même poids, et certaines apparaissent plus discutables. Ainsi, dans une enfilade de messages Twitter partagés par plusieurs élus écologistes , Paul Neau, de l'association Négawatt (qui milite pour la sobriété énergétique et le recours au renouvelable) entendait ainsi réfuter l'estimation du coût des EnR pour les finances publiques. La BD affirme ainsi que pour 150 milliards d'euros - ce que «les subventions pour l'éolien et le solaire coûtent» - on pourrait «doubler tout le réseau ferroviaire français» . Or, explique Jancovici, «le bénéfice pour le climat est bien supérieur» dans le deuxième scénario que dans le premier. «Faux» , affirme Neau : «L'éolien et le solaire ont [et vont] rapporter en 2022 et 2023, plus de... 30 milliards d'euros.»


Alors, les EnR coûtent-elles ou rapportent-elles à l'Etat ? Le chiffre de 150 milliards avancé dans la BD correspond aux projections, effectuées en 2018 par la CRE et la Cour des comptes , des subventions à l'éolien et au photovoltaïque sur vingt ans. Un chiffre remis en question en novembre 2022 par la CRE , qui estimait désormais que «les filières EnR en métropole continentale devraient représenter des recettes cumulées pour le budget de l'Etat de 30,9 milliards au titre de 2022 et 2023». Ce renversement spectaculaire est dû à un mécanisme de compensation. Pour soutenir les producteurs d'EnR, l'Etat garantit en effet un prix d'achat fixe pour l'électricité produite à partir de sources renouvelables. Quand ces producteurs vendent sur le marché leur électricité en dessous de ce prix, l'Etat leur verse donc la différence. Ce qui peut représenter une charge importante pour les caisses publiques. Mais si le prix de marché est supérieur à ce prix garanti, les producteurs d'EnR doivent à l'inverse verser la différence à l'Etat. Or c'est précisément la situation dans laquelle nous nous trouvons depuis le début de la guerre en Ukraine, du fait d'un «contexte exceptionnel de crise» et de «hausse significative des prix de gros de l'énergie» , comme l'expliquait la CRE.


Difficile toutefois de reprocher à la BD le Monde sans fin , publiée en octobre 2021, de ne pas avoir prédit l'invasion russe en Ukraine et cette conséquence financière - dont on peut tout aussi difficilement prédire la pérennité. De fait, les marchés sont revenus à la baisse en ce début d'année 2023. Sollicité par Libération , Paul Neau juge toutefois que «les prix devraient rester élevés encore un certain temps» en raison de la crise ukrainienne et de la production dégradée de la filière nucléaire. Et d'assurer : «Le coût des énergies renouvelables électriques est à la baisse tandis que celui de l'électricité nucléaire est à la hausse. A investissement égal, on produira nettement plus de MWh renouvelables que nucléaires.» Neau persiste en notant que la filière nucléaire française est elle aussi coûteuse, avec «le stockage à Bure et le démantèlement des réacteurs existants» («coûts qui ne rapportent pas le moindre MWh») et «les incertitudes, tant sur les délais que sur les coûts» des futurs réacteurs.


Au vu de la place qu'a pris l'ouvrage Le monde sans fin dans l'espace médiatique et politique, les controverses à son sujet ne vont probablement pas, elles non plus, finir de sitôt.

Grey-Che (17 Jan 2023)