le côté horreur est bien réalisé mais pas seulement. Il y a une grosse thématique de la dépression sur le plan clinique avec Sayori qui m'a beaucoup touché. Après je ne sais pas si c'est propre à la génération actuelle qui aime s'autodiagnostiquer ou qui est réellement dans ce cas / sensible à ce sujet mais en cherchant sur internet je vois que beaucoup sont du même avis. Ensuite le malaise est constant avec le côté youtube poop/sonic.exe avec des effets efficaces. Mais c'est surtout le cas de Sayori qui est le plus marquant car l'on doit forcément assister à sa mort avant le reboot de Monika