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- Jamais

Je croise parfois la mère, (jamais vu le père), mais c'est pas évident d'aller lui en parler car elle sait déjà très bien que son fils pose de sérieux problèmes et qu'elle ne doit pas avoir de solution dans l'immédiat. Et oui le maitre et l'avs lui en ont déjà parlé à de nombreuses reprises.
C'est surtout galère pour mon fils mais aussi pour la vie de la classe (le maitre et l'avs m'ont bien dit qu'il était ingérable et qu'ils arrivaient au bout de ce qu'ils pouvaient faire en terme de surveillance, à part l'attacher à une chaise ils peuvent pas faire beaucoup plus).
Je ne sais pas ce qu'il a exactement comme autisme mais il ne parle pas (ou quasi pas) et n'est pas capable pour le moment d'avoir des interactions "normales" avec les autres. Il est aussi obsédé par mon fils donc (en PS dès qu'on arrivait au périscolaire il se précipitait pour lui toucher les cheveux et lui caresser le visage puis il le suivait).
Je prie pour qu'il se calme et qu'ils arrête les griffures.

Tout ça, ça me fait réfléchir sur l'inclusion des enfants différents dans des classes (à laquelle je ne pensais rien trouver à redire à la base), qui peut avoir ses limites malheureusement, surtout quand la contrepartie c'est que ça pourrit la vie de la classe et parfois celle d'un gamin directement smiley28  Surtout qu'avec la discussion d'hier j'ai compris que c'était encore pire que ce que je pensais ("parfois on est obligés de laisser X (l'enfant autiste) tout seul en classe pendant les récréations pour que votre fils puisse avoir droit à une récréation normale, sinon il ne le lache pas une seconde" (j'étais pas au courant, j'avais juste envie de casser des trucs en entendant ça).

En parlant de la blondeur de mon fils, quand il était tout petit on avait souvent droit aux personnes âgées qui ne se gênaient pas pour lui toucher les cheveux smiley71 (dans la rue, au supermarché,..).