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Trois heures et demie, dont trois d'un ennui accablant. C'est ce à quoi nous a contraints le dernier long-métrage d'Abdellatif Kechiche, Mektoub, My Love : Intermezzo, dont on ne saisit guère les raisons qui ont conduit à sa sélection à Cannes. Suite étirée à l'excès de Mektoub, My Love : Canto Uno (sorti en 2018) – premier volet d'une fresque qui en comptera trois –, le film retrouve le lieu, les personnages et les acteurs laissés dans le précédent opus, sans rien y apporter de nouveau.

Car s'il subsistait encore un doute sur la fascination maladive qu'exercent sur le cinéaste les fesses des adolescentes et des jeunes femmes, ce film le balaie définitivement. Dans Mektoub, My Love : Intermezzo, Abdellatif Kechiche les cadre sous tous les angles, « abandonnées », en mouvement fébrile, de face, de profil, dans l'entrejambe, en contre-plongée.



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Lucien Brémart (24 May 2019)