1994 : la fin du jeu vidéo.
Tchiko

TampaxFramboise - 18 Jul 2016
Pas de multi "j'ai pas d'amis", pas de compétences/niveaux/level up "standard" (comprendre osef et chronophage), pas de quêtes "va voir là-bas si j'y suis" avec le design de merde qui va avec.
Je ne pense pas, la taille astronomique du monde est là pour assurer la sensation de découverte, une expérience "unique" à chaque partie, chaque joueur. Le sentiment d'être perdu dans l'espace infinie. Le but est de rejoindre le centre de la galaxie (soit atteindre des conditions physiques extrêmes et inconnues), je pense (j'espère) que ça se fera en quelques (une?) dizaines d'heures.
Après si des autistes s'amusent à visiter trouze millions de planètes, grand bien leur fasse.

Oui l'intérêt va dépendre de la qualité de leurs algorithmes pour le procédural. Les diverses présentations de leur travail à ce niveau me semblent rassurantes.
D'ailleurs pour ceux qui ne le sauraient pas, la musique du jeu aussi est procédurale.


TaliB - 18 Jul 2016
Mais trop pas. C'est vraiment le genre de jeu jusqu'au boutiste en terme d'expérience où la stabilité de la partie technique doit passer au second plan. Ce n'est pas un jeu console/arcade basé sur le skill (je reste étonné du choix des 60fps pour la PS4, faut voir...)
Et puis c'est pas comme si le jeu avait une DA de merde quoi.
Non il n'y a pas d'interaction entre les joueurs, c'est une expérience solo (alléluia) qui résonne bien avec le sentiment de solitude de l'exploration spatiale.
Le manque de variété dans l'action on verra bien, mais le principe étant le voyage spatiale, pas la peine de partir dans tous les sens pour ressembler aux stéréotypes du jeu vidéo console (encore une fois), j'attends que le jeu soit cohérent et riche seulement dans l'expérience originale qu'il propose.