Enemy territory

Le premier jeu qui m'a fait dépasser la centaine d'heure.
FPS gratuit uniquement multi et proposant autre chose que du deathmatch, il permettait de s'affronter à 64 sur des cartes à objectif.
Se retrouver à 32 par équipe pour remplir des missions (attaque/défense) était quelque chose d'inédit pour moi. On peut penser que de se retrouver avec de inconnus était le meilleur moyen pour se convaincre que le joueur lambda est débile mais non, chaque classe jouait son rôle sans tomber dans la course au frag dans une cohérence que je n'ai plus retrouvé depuis.

Le même en cool: Team Fortress 2 avant qu'il ne devienne Hat fortress

La même en plus naze: Brink par les développeur d'Enemy territory.

The Dig

Point'n click vendu comme une production Spielberg. Beaucoup moins drôle que les autres productions de l'époque (Full throttle, Sam & max) il n'en est pas moins intéressant pour son contenu plus adulte (on y voit ainsi un personnage se suicider et vous faire des reproches si on le ressuscite).
Sans être profondément glauque l'univers y était angoissant (pour mes 12 ans) mais très dépaysant et intrigant.
On peut lui reprocher le recyclage d'énigme et au final une aventure classique mais il a surtout eu le malheur de sortir à la même époque que de très grand jeu du même genre.

Le même en cool:  Indiana Jones et le Mystère de l'Atlantide, le point'n click avec divers embranchements donc une replay value + The Legend of Kyrandia - Book 3 - Malcolm's Revenge parce qu'on y joue un méchant + Discworld .

La même en plus naze: Machinarium : no emotion.

clott (06 Aug 2014)