Boudjelllal pleureuse sans limite
«Malheureusement pour eux [les dirigeants], ils vont devoir me supporter un peu plus longtemps, assène Boudjellal. Si on avait gagné la finale, je ne serais peut-être pas resté dans ce monde. Je n'ai pas envie de leur ressembler. J'ai 52 ans, je fais du sport. Certains sont des caricatures. Qu'est-ce qu'ils nous emmerdent? Ils sont vieux, ils s'accrochent, ils vont rester jusqu'à quand? Jusqu'à ce qu'ils se pissent dessus?»
Va t'en