1994 : la fin du jeu vidéo.
Tchiko

Ebichu - 17 Mar 2012
C'est cool que t'aies financé le prochain thatgamecompany tenté l'aventure.
Je me serais passé de la voix sur le générique de fin aussi, mais c'est qu'un détail. Pour le reste tu fais ton débile, no comment smiley29

Des énigmes à la Ico smiley71 que ce soit clair pour les intéressés il n'y a pas d'enigmes du tout. Et heureusement... Ca reste de simples interactions, cependant pas dénuées de sens ou d'intention.

Journey n'est pas un jeu batard à la Ico, ce qui le condamnerait selon moi à être chiant (j'ai fait 1h d'Ico ce matin et je trouve ça assez chiant et japoniais, malgré des trucs intéressants). C'est une expérience interactive réfléchie, très épurée (ce qui laissera de marbre le crasseux et aura l'effet d'une grande bouffée d'oxygène pour l'Homme cultivé genre admin de GR) avec un réel travail pour créer un lien entre le fond et la forme afin de constituer ce voyage. Ce qui en fait à mon avis quelque chose qui relève en effet de l'art. Pitié pas de comparaison avec des grands auteurs de littérature comme l'autre débile sur le SU, je dis pas que c'est une forme d'art noble et la comparaison s'arrête bien évidemment là. On reste dans le cadre modeste mais néanmoins intéressant du jeu vidéo (au sens large smiley29 ). Mais tant est que le premier trou du cul qui prend un pinceau ou un stylo ferait de l'art, voilà quoi... Faut-il aussi considérer qu'un bon cinéaste est un artiste.

Destresse et retente l'aventure offline en essayant de réussir les trophées solo plutôt bien pensés, puisqu'il te faut un cadre.
J'ai moi-même plus apprécié mon deuxième run, alors qui sait.

j'ai deux/trois bidules allumés sur quatres quand je finis un chapitre, je suppose qu'il reste des "fresques" à révéler

Tu vas arrivé à comprendre par toi-même toutes les mécaniques du jeu ou tu veux une soluce? smiley77